J ai apprécié cette immersion dans un Rwanda féminin, coupé en deux clans : les Hutu et les Tutsi, nommées au lycée
notre dame du Nil "les quotas". La tension des le début du roman est palpable, on sent qu'il va se passer "quelque chose" mais je trouve la narration décousue et la fin hâtivement traitée.
Les jeunes filles restent très attachantes, la question du choc de cultures est profonde, vouloir ressembler aux Blanches, ne pas renier sa famille, espérer une vie "meilleure", poids des traditions et des croyances, ça a été pour moi intéressant.
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