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Critique de beatriceferon
Jean-Fabien, « un type épatant, drôle, sympathique [que ses] amis (…) adorent, [ses] femmes (…) vénèrent [et ses] collègues (…) adulent », du moins est-ce ainsi qu'il se présente, est « cadre dans une grande entreprise internationale ».
Comme il n'a rien à faire, (il s'arrange pour laisser tout le travail aux autres), il peut intelligemment (?) partager son temps entre sorties, beuveries, drague et drogue.
Je n'en saurai pas davantage : j'arrête les frais avant de jeter ce livre ignoble par la fenêtre et risquer les ennuis en blessant quelqu'un.
« Les jouets, (…) ce sont, tu l'auras compris, les femmes... ». « Des groupes de filles magnifiques avec des seins XXXL, des pick-up assez larges pour en ramasser un stock pour l'année ». « Les humains, pourvus ou non de mamelles ». « La pouffe du coin ». « Cette target-là est à peu près aussi attirante qu'une tranche de jambon avariée. En plus épais ».
Je n'en suis qu'à la page 15. Sa vision des femmes me donne envie de le gifler. Je ne sais pas comment on peut accepter de publier de telles phrases. Drôle ? Non. Vous croyez ? Vous trouvez ça drôle, vous ? Moi, ça ne me fait pas rire.
Le style... Quel style ? C'est tellement mal écrit que ce n'est même pas un brouillon. Il y a au moins une faute d'orthographe par page.
On présentait ce torchon comme très amusant. Eh bien, ce genre d'humour au ras des pâquerettes n'est pas du tout mon genre ! Quelques exemples ? « J'ai un peu l'impression de sniffer autour d'un réverbère avant de le repeindre de pisse. » « Personne n'a envie de mourir d'un excès de sudation des aisselles et encore moins d'assister olfactivement à l'agonie communicative d'un de ses congénères ». « J'attire les jambons comme Serrano de Bergerac » . Il a quel âge ce type ? Quatorze ans ? C'est à cet âge-là à peu près qu'on s'esclaffe avec des blagues scatologiques, non ?
Si j'osais, je reprendrais à mon compte cette épigramme de Boileau : « J'ai vu Agésilas, hélas ! Mais après l'Attila, holà ! ». Et je referme ce... machin.
Plusieurs lecteurs, d'après les commentaires que j'ai lus, adorent et trouvent ce roman « mordant », « tordant », « jubilatoire ».
Vous l'aurez compris, je ne suis pas du tout de leur avis ! Dommage qu'on ne puisse lui accorder aucune étoile... Je suis donc obligée de lui en mettre une, mais il ne la vaut pas!
J'ai détesté.
Comme il n'a rien à faire, (il s'arrange pour laisser tout le travail aux autres), il peut intelligemment (?) partager son temps entre sorties, beuveries, drague et drogue.
Je n'en saurai pas davantage : j'arrête les frais avant de jeter ce livre ignoble par la fenêtre et risquer les ennuis en blessant quelqu'un.
« Les jouets, (…) ce sont, tu l'auras compris, les femmes... ». « Des groupes de filles magnifiques avec des seins XXXL, des pick-up assez larges pour en ramasser un stock pour l'année ». « Les humains, pourvus ou non de mamelles ». « La pouffe du coin ». « Cette target-là est à peu près aussi attirante qu'une tranche de jambon avariée. En plus épais ».
Je n'en suis qu'à la page 15. Sa vision des femmes me donne envie de le gifler. Je ne sais pas comment on peut accepter de publier de telles phrases. Drôle ? Non. Vous croyez ? Vous trouvez ça drôle, vous ? Moi, ça ne me fait pas rire.
Le style... Quel style ? C'est tellement mal écrit que ce n'est même pas un brouillon. Il y a au moins une faute d'orthographe par page.
On présentait ce torchon comme très amusant. Eh bien, ce genre d'humour au ras des pâquerettes n'est pas du tout mon genre ! Quelques exemples ? « J'ai un peu l'impression de sniffer autour d'un réverbère avant de le repeindre de pisse. » « Personne n'a envie de mourir d'un excès de sudation des aisselles et encore moins d'assister olfactivement à l'agonie communicative d'un de ses congénères ». « J'attire les jambons comme Serrano de Bergerac » . Il a quel âge ce type ? Quatorze ans ? C'est à cet âge-là à peu près qu'on s'esclaffe avec des blagues scatologiques, non ?
Si j'osais, je reprendrais à mon compte cette épigramme de Boileau : « J'ai vu Agésilas, hélas ! Mais après l'Attila, holà ! ». Et je referme ce... machin.
Plusieurs lecteurs, d'après les commentaires que j'ai lus, adorent et trouvent ce roman « mordant », « tordant », « jubilatoire ».
Vous l'aurez compris, je ne suis pas du tout de leur avis ! Dommage qu'on ne puisse lui accorder aucune étoile... Je suis donc obligée de lui en mettre une, mais il ne la vaut pas!
J'ai détesté.
