Bel hommage
De Musset à Sand. Une pièce hors norme, moins destinée à la scène qu'à la lecture. D'ailleurs, certaines passages (comme la tirade de Perdican dans la plus longue scène, la II,5) relèvent de la poésie pure.
Musset nous offre une conception très pessimiste de l'amour. A méditer.
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