Recueil de courts poèmes construits sur le modèle des haïkus,
Pierre Nabhan nous livre une version poétique de la violence, du monde carcéral ou encore des stupéfiants et même du dopage.
J'ai découvert cet auteur l'année dernière avec son précédent recueil de haïkus,
Survi (noter l'anagramme de Virus) où il nous contait la covid-19... oui, il nous conte car pas d'analyse épidémiologique ou sanitaire mais une photo de notre quotidien, un instantané de ce moment si particulier de nos vies.
Une très jolie découverte !
Je vous encourage également à découvrir le profil instagram de l'auteur et celui de Julia Sophie Plath car l'artiste en mis en images les mots de l'auteur et le rendu est particulièrement percutant.
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