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Critique de Tachan
A un tome de la fin, Nagamu Nanaji nous propose des chapitres mignons tout plein mais archi classiques qui honnêtement ne m'ont pas passionnée.
On retombe en effet dans le très classique questionnement de l'avenir après le lycée, avenir professionnel mais aussi sentimental, et c'est quelque chose de vu et revu qui, s'il n'a pas un peu d'aspérité, n'a rien de passionnant.
Ici les personnages sont adorables, hyper gentils et mignons, plein de bonnes intentions mais au final assez lisses. Koiko fonce dans la voie qu'elle s'est trouvée : la cuisine et pour se faire elle s'entraîne sur sa famille et son petit-ami. J'ai eu beaucoup de mal avec l'aspect "bonne petite épouse" de la chose, entre les bentos préparés à Tsurugi et les conseils demandés à la mère de celui-ci pour faire les mêmes plats qu'elle. Ce n'est pas très moderne tout ça...
Je préfère les interrogations de Tsurugi, qui montre que ce n'est pas parce qu'on est bon élève qu'on sait ce qu'on veut faire plus tard ou qu'on est un bosseur. Il montre un visage différent du bon élève qui me séduit assez et correspond bien à celle que j'ai pu être par certains aspects. du coup, son choix quant à son avenir et tout à fait logique, mesure et bien pensé. C'est peut-être aussi pour ça qu'il manque légèrement de folie et que ça rend le tout légère insipide...
On reste d'ailleurs sur un statu quo en ce qui concerne tout le reste, comme si c'était mis en stand bye le temps qu'on règle ça. Bof. Re bof avec leur côté trop gentil à chacun qui rend leur pseudo tiraillement pas du tout crédible puisqu'on se doute que ça bien finir et peut-être encore même plus que d'habitude vu leur caractère à chacun. Même le pseudo drame à la fin sonne faux.
Ainsi, ce tome bien que mignon et plein de gentillesse, ne m'a pas du tout convaincue parce que je l'ai trouvé artificiel, lisse et pas crédible. C'est bien de vouloir montrer des personnages gentils tout plein mais il y a des moments où il faut savoir leur donner un peu de corps et d'aspérité sinon ça les empêche d'avoir la dimension qu'ils devraient.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
On retombe en effet dans le très classique questionnement de l'avenir après le lycée, avenir professionnel mais aussi sentimental, et c'est quelque chose de vu et revu qui, s'il n'a pas un peu d'aspérité, n'a rien de passionnant.
Ici les personnages sont adorables, hyper gentils et mignons, plein de bonnes intentions mais au final assez lisses. Koiko fonce dans la voie qu'elle s'est trouvée : la cuisine et pour se faire elle s'entraîne sur sa famille et son petit-ami. J'ai eu beaucoup de mal avec l'aspect "bonne petite épouse" de la chose, entre les bentos préparés à Tsurugi et les conseils demandés à la mère de celui-ci pour faire les mêmes plats qu'elle. Ce n'est pas très moderne tout ça...
Je préfère les interrogations de Tsurugi, qui montre que ce n'est pas parce qu'on est bon élève qu'on sait ce qu'on veut faire plus tard ou qu'on est un bosseur. Il montre un visage différent du bon élève qui me séduit assez et correspond bien à celle que j'ai pu être par certains aspects. du coup, son choix quant à son avenir et tout à fait logique, mesure et bien pensé. C'est peut-être aussi pour ça qu'il manque légèrement de folie et que ça rend le tout légère insipide...
On reste d'ailleurs sur un statu quo en ce qui concerne tout le reste, comme si c'était mis en stand bye le temps qu'on règle ça. Bof. Re bof avec leur côté trop gentil à chacun qui rend leur pseudo tiraillement pas du tout crédible puisqu'on se doute que ça bien finir et peut-être encore même plus que d'habitude vu leur caractère à chacun. Même le pseudo drame à la fin sonne faux.
Ainsi, ce tome bien que mignon et plein de gentillesse, ne m'a pas du tout convaincue parce que je l'ai trouvé artificiel, lisse et pas crédible. C'est bien de vouloir montrer des personnages gentils tout plein mais il y a des moments où il faut savoir leur donner un peu de corps et d'aspérité sinon ça les empêche d'avoir la dimension qu'ils devraient.
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