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Critique de florencem
Je ne m'en lasse pas. En toute franchise, je m'attendais à une relecture pas forcément très passionnante, pas déplaisante mais Parfait Tic ne m'avait pas forcément plus marqué que cela. Je crois même que j'avais abandonné la série juste avant la fin. Après, il reste encore quatorze tomes, peut-être que d'ici là, j'aurais un autre ressenti (ce que je ne souhaite pas), mais pour l'instant je passe un excellent moment !
Ce tome a quelque chose d'assez particulier. Il est triste par de nombreux aspects alors que je m'attendais à quelque chose de plus enjoué, surtout depuis que Fûko a compris qu'elle aimait Ichi et qu'elle était plus en paix avec ses sentiments. le début est d'ailleurs très mignon. Il y a de nombreuses scènes où on les voit tous les deux avec leur complicité bien à eux, se crêpant le chignon ou bien se regardant tendrement. Je m'étais dit, ça y est, nous allons avoir du concret, entrer réellement dans une romance… Mais Nanaji Nagamu en a décidé autrement.
Si j'étais cynique, je dirais que la mangaka cherche à faire trainer les choses. Oui, mais voilà, on sait depuis le début que les deux garçons ont un certain passif qui reste encore un mystère. Et forcément, à un moment donné, cela allait exploser aux visages de nos héros. Et c'est le cas ici… sauf que ça n'a rien de « violent », c'est plus insidieux que cela. Une personne du passé d'Ichi refait surface et cela va mettre à mal la naissance de sa relation avec Fûko. Et je dois avouer que le jeune homme ne prend pas du tout les bonnes décisions ici… c'est même les pires. Et ce n'est pas facile à voir. Notre petite Fûko a très souvent le regard triste et c'est un pincement au coeur à chaque fois.
Je pense que cela va se résoudre assez facilement… mais c'est tout de même un mauvais moment à passer. S'ajoute à cela Daiya. Alors par contre, notre jeune héros est irréprochable ici. Malgré ses sentiments, il est présent à mille pourcents pour Fûko. J'avoue que le passage des trois cailloux était déchirant. Symbolique mais tellement parlant. Et pourtant, il garde le sourire, et reste présent pour sa voisine tout comme son cousin. J'adore Daiya depuis le départ, mais alors avec ce tome… J'avais envie de lui faire un gros câlin… Autant de maturité et de gentillesse, ça ne peut que vous toucher.
Autre point que j'ai adoré : Fûko. L'adolescente fait comme elle peut avec des sentiments qu'elle a parfois du mal à appréhender, mais elle reste droite dans ses baskets. Elle fait des erreurs, mais jamais avec de mauvaises intentions et elle essaye toujours d'arranger les choses. J'aime aussi voir comme sa relation avec Daiya a évolué même si c'est douloureux pour lui. Elle l'aime, mais d'une autre façon. Un ami précieux qu'elle respecte et à qui elle ne veut pas mentir. C'est beau tellement c'est pur et la scène en question est sublimé par la mise en page. Encore une fois, il y a une grande maturité dans Parfait Tic, et peut-être que je n'y étais pas assez réceptive lors de ma première lecture.
Ce tome a quelque chose d'assez particulier. Il est triste par de nombreux aspects alors que je m'attendais à quelque chose de plus enjoué, surtout depuis que Fûko a compris qu'elle aimait Ichi et qu'elle était plus en paix avec ses sentiments. le début est d'ailleurs très mignon. Il y a de nombreuses scènes où on les voit tous les deux avec leur complicité bien à eux, se crêpant le chignon ou bien se regardant tendrement. Je m'étais dit, ça y est, nous allons avoir du concret, entrer réellement dans une romance… Mais Nanaji Nagamu en a décidé autrement.
Si j'étais cynique, je dirais que la mangaka cherche à faire trainer les choses. Oui, mais voilà, on sait depuis le début que les deux garçons ont un certain passif qui reste encore un mystère. Et forcément, à un moment donné, cela allait exploser aux visages de nos héros. Et c'est le cas ici… sauf que ça n'a rien de « violent », c'est plus insidieux que cela. Une personne du passé d'Ichi refait surface et cela va mettre à mal la naissance de sa relation avec Fûko. Et je dois avouer que le jeune homme ne prend pas du tout les bonnes décisions ici… c'est même les pires. Et ce n'est pas facile à voir. Notre petite Fûko a très souvent le regard triste et c'est un pincement au coeur à chaque fois.
Je pense que cela va se résoudre assez facilement… mais c'est tout de même un mauvais moment à passer. S'ajoute à cela Daiya. Alors par contre, notre jeune héros est irréprochable ici. Malgré ses sentiments, il est présent à mille pourcents pour Fûko. J'avoue que le passage des trois cailloux était déchirant. Symbolique mais tellement parlant. Et pourtant, il garde le sourire, et reste présent pour sa voisine tout comme son cousin. J'adore Daiya depuis le départ, mais alors avec ce tome… J'avais envie de lui faire un gros câlin… Autant de maturité et de gentillesse, ça ne peut que vous toucher.
Autre point que j'ai adoré : Fûko. L'adolescente fait comme elle peut avec des sentiments qu'elle a parfois du mal à appréhender, mais elle reste droite dans ses baskets. Elle fait des erreurs, mais jamais avec de mauvaises intentions et elle essaye toujours d'arranger les choses. J'aime aussi voir comme sa relation avec Daiya a évolué même si c'est douloureux pour lui. Elle l'aime, mais d'une autre façon. Un ami précieux qu'elle respecte et à qui elle ne veut pas mentir. C'est beau tellement c'est pur et la scène en question est sublimé par la mise en page. Encore une fois, il y a une grande maturité dans Parfait Tic, et peut-être que je n'y étais pas assez réceptive lors de ma première lecture.
