>
Critique de LaSalamandreNumerique
Je commence par remercier l'Atelier de l'Agneau pour ce livre reçu dans le cadre d'une opération masse critique.
L'auteur, Carole Naggar, dédicace ce livre à ses fils, « pour qu'ils connaissent certains de ses itinéraires de vie ». C'est intéressant car cela rejoint largement mes pensées en découvrant cet ouvrage. Je me suis dit en effet que, si ma mère ou ma grand-mère avait choisi ce support pour nous transmettre différents aspects de sa vie, j'aurais trouvé cela créatif et intéressant. En effet c'est original et offre un portrait sensible de l'auteur tout en illustrant de nombreux moments de son existence. le fait d'associer différentes photographies est aussi, dans cette optique, une bonne idée et ce d'autant plus que la vie de Carole Naggar l'a amenée à croiser de nombreux individus connus et souvent intéressants. Elle a aussi beaucoup voyagé.
Hélas pour le lecteur que je suis elle n'est pas ma mère ou ma grand-mère. Je dois reconnaître que je n'ai pas réussi à trouver grand intérêt à cette collection d'anecdotes. Certains des textes se voudraient sans doute poétiques mais je ne suis pas sensible à l'écriture de cet auteur et n'ai pas ressenti d'émotion particulière sur ce plan. La mise en abyme des photographies et des textes aurait pu être l'occasion de dialogues féconds mais je ne les ai pas perçus ou si peu.
La couverture montre « Morris », l'aveugle qui semble se photographier devant un miroir, au Caire en 1984 est-il précisé. Je me sens assez dans sa peau devant cet ouvrage tant je suis ici atteint de cécité lorsqu'il s'agit de voir l'attrait de cet ouvrage comme de ressentir des émotions à sa lecture. Il reste toutefois quelques très beaux clichés, une phrase qui marque parfois (rarement dans mon cas) et l'impression d'une personne sympathique ayant eu une vie somme toute riche.
Désolé d'avoir si peu de choses positives à exprimer j'ai proposé ce livre à mon épouse, agrégée de lettres et amoureuse de toutes les formes d'art. Nous différons parfois sensiblement quant à ce que nous apprécions. Hélas cela n'a pas été le cas ici.
Une rencontre ratée donc. Je souhaite à cet ouvrage de plaire plus à d'autres.
L'auteur, Carole Naggar, dédicace ce livre à ses fils, « pour qu'ils connaissent certains de ses itinéraires de vie ». C'est intéressant car cela rejoint largement mes pensées en découvrant cet ouvrage. Je me suis dit en effet que, si ma mère ou ma grand-mère avait choisi ce support pour nous transmettre différents aspects de sa vie, j'aurais trouvé cela créatif et intéressant. En effet c'est original et offre un portrait sensible de l'auteur tout en illustrant de nombreux moments de son existence. le fait d'associer différentes photographies est aussi, dans cette optique, une bonne idée et ce d'autant plus que la vie de Carole Naggar l'a amenée à croiser de nombreux individus connus et souvent intéressants. Elle a aussi beaucoup voyagé.
Hélas pour le lecteur que je suis elle n'est pas ma mère ou ma grand-mère. Je dois reconnaître que je n'ai pas réussi à trouver grand intérêt à cette collection d'anecdotes. Certains des textes se voudraient sans doute poétiques mais je ne suis pas sensible à l'écriture de cet auteur et n'ai pas ressenti d'émotion particulière sur ce plan. La mise en abyme des photographies et des textes aurait pu être l'occasion de dialogues féconds mais je ne les ai pas perçus ou si peu.
La couverture montre « Morris », l'aveugle qui semble se photographier devant un miroir, au Caire en 1984 est-il précisé. Je me sens assez dans sa peau devant cet ouvrage tant je suis ici atteint de cécité lorsqu'il s'agit de voir l'attrait de cet ouvrage comme de ressentir des émotions à sa lecture. Il reste toutefois quelques très beaux clichés, une phrase qui marque parfois (rarement dans mon cas) et l'impression d'une personne sympathique ayant eu une vie somme toute riche.
Désolé d'avoir si peu de choses positives à exprimer j'ai proposé ce livre à mon épouse, agrégée de lettres et amoureuse de toutes les formes d'art. Nous différons parfois sensiblement quant à ce que nous apprécions. Hélas cela n'a pas été le cas ici.
Une rencontre ratée donc. Je souhaite à cet ouvrage de plaire plus à d'autres.
