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Critique de polarjazz


Je ne pensais pas que la littérature française dont sa poésie avait pu influencer un pays aussi exotique que le Japon. Les écrivains, les poètes japonais reconnaissent la contribution de notre littérature. Elle a modernisé les lettres japonaises.
Nakahara Chûya est un poète japonais qui a vécu trente ans, au début du XXe siècle, et qui fut foudroyé par la mort de son fils premier né. Il est considéré comme le "Rimbaud" japonais dont il a traduit des poésies et des lettres. Je suis néophyte en esthétique poétique. Je n'ai pas encore lu la forme courte représentée par les haikus. Je sais que la perfection est universelle : "Dehors il fait noir noir mais noir / Et la nuit continue de s'étendre". Tout est là. C'est sensible, intime et où la modernité occidentale fréquente la tradition culturelle japonaise. Chûya est un être d'absolu comme beaucoup de poètes. C'est quelque chose d'intrinsèque.
Edité par les Editions Philippe Picquier en 2005, ce recueil propose un champ large de poèmes de Nakahara Chûya, une postface de qualité et une chronologie évènementielle. Je suis ravie que ma médiathèque ait fait l'acquisition de cet ouvrage. C'est une pépite.
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