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Critique de mimouski
Le rôle de Momiji est attribué à Kyoko ! Avec cette couverture, il n'y a pas de suspense que nous allons poursuivre la compréhension du monde cruel des coulisses du métier d'acteur. Bon pour la peine, cela va très très loin et l'auteure pousse au choc pour marquer le coup. Un tome toujours aussi fou, drôle, dramatique et faisant du sur-place pour les amours de Kyoko que j'ai pris plaisir à lire comme d'habitude malgré la longévité de la série (quel est l'objectif à atteindre de l'auteure ? 100 tomes avant que le couple ne se forme ?)
