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Critique de calimelivre
Comme un petit air du "Cercle des poètes disparus" !
J'ai reçu ce roman de Abdi Nazemian par l'opération Masse critique et je n'ai pas du tout fait le rapprochement avec le titre "Like a love story" du même auteur.
J'ai d'abord trouvé la couverture très belle avec les cinq personnages au premier plan qui semblent en relief comme des autocollants posés sur un décor.
L'histoire sous forme de roman chorale, raconte la rencontre de 5 jeunes étudiants d'une université huppée, réunis grâce au professeure Douglas dans le Cercle, un atelier d'écriture exigeant. Ils viennent de milieux différents et ont tous un vécu. Ils vont se découvrir et ensemble dénoncer les secrets bien gardés de cette institution.
L'auteur parle de harcèlement, d'homosexualité, d'amitié. L'atelier d'écriture prend une place importante. Les exercices donnés par Douglas vont avoir un pouvoir libérateur. On peut y voir la même envie que celle du professeur Keating du "Cercle des poètes disparus" de vouloir faire découvrir à ses élèves leur vraie nature afin qu'ils puissent vivre comme ils le désirent.
Cependant, alors que j'avais beaucoup aimé lire "Like a love story", je ne suis pas entrée dans cette histoire. J'ai trouvé le style fade, simple (mal écrit ou mal traduit ?). L'histoire superficielle avec un regroupement de personnages stéréotypés. Je n'ai pas été touchée et cela me désole un peu.
Les jeunes lecteurs, eux, se retrouveront certainement dans ces héros très actuels, dans la dénonciation des abus et liront ce roman avec beaucoup de facilité.
J'ai reçu ce roman de Abdi Nazemian par l'opération Masse critique et je n'ai pas du tout fait le rapprochement avec le titre "Like a love story" du même auteur.
J'ai d'abord trouvé la couverture très belle avec les cinq personnages au premier plan qui semblent en relief comme des autocollants posés sur un décor.
L'histoire sous forme de roman chorale, raconte la rencontre de 5 jeunes étudiants d'une université huppée, réunis grâce au professeure Douglas dans le Cercle, un atelier d'écriture exigeant. Ils viennent de milieux différents et ont tous un vécu. Ils vont se découvrir et ensemble dénoncer les secrets bien gardés de cette institution.
L'auteur parle de harcèlement, d'homosexualité, d'amitié. L'atelier d'écriture prend une place importante. Les exercices donnés par Douglas vont avoir un pouvoir libérateur. On peut y voir la même envie que celle du professeur Keating du "Cercle des poètes disparus" de vouloir faire découvrir à ses élèves leur vraie nature afin qu'ils puissent vivre comme ils le désirent.
Cependant, alors que j'avais beaucoup aimé lire "Like a love story", je ne suis pas entrée dans cette histoire. J'ai trouvé le style fade, simple (mal écrit ou mal traduit ?). L'histoire superficielle avec un regroupement de personnages stéréotypés. Je n'ai pas été touchée et cela me désole un peu.
Les jeunes lecteurs, eux, se retrouveront certainement dans ces héros très actuels, dans la dénonciation des abus et liront ce roman avec beaucoup de facilité.
