Voici un Spirou assez jubilatoire, qui rappelle la grande époque du célèbre groom des années cinquante!
Assez gonflé, tout de même, de reprendre une partie du titre du premier album du reporter à la houppe!
Il y a tellement de fines allusions, dans
Spirou chez les soviets, que c'est une sorte de chasse au trésor que de les relever... et c'est parfois très drôle.
On retrouve avec bonheur, l'ambiance du Dictateur et du champignon ou du Prisonnier de bouddha, avec Champignac et le laboratoire du Comte.
Même la Turbotraction, dans sa première et légendaire version, est de la partie et va même virer, un temps, au rouge!
Bien sûr, on peut déplorer l'absence du Marsupilami qui avait tant fait merveille dans QRN sur Bretzelburg et les deux épisodes sus-évoqués.
Mais bon... on ne peut tout avoir!
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