Malgré ce que laisse supposer la couverture, ce n'est pas qu'une histoire d'herbes qui font rire, bien que de Nerbal et le Calife Hakem partage cet amour commun pour les psychotrope.
C'est un conte, fantastique et philosophique, par une des plus belles plumes illuminées (c'est l'époque) de la littérature française.
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