Carlos Nine est un peu comme un bon vin, pour l'apprécier il faut le déguster, le laisser vieillir. Son style pictural si particulier me plait beaucoup. Quant aux histoires, il faut parfois s'accrocher un peu pour comprendre ce monde d'insectes et d'animaux qui habitent dans des théières, bouteilles ou chaussures, exercent des professions d'artistes, de magistrats ou de détectives. Les femmes y sont souvent lascives ou explosives et les hommes, plutôt ...hommes avec leurs défauts.
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