Noiret écrit ses souvenirs, avant tout au théâtre et au cinéma, et parfois quelques anecdotes de sa vie familiale.
Lire son parcours c'est revisiter le cinéma français et italien des années 60, 70, 80, 90. J'aime ses retours sur le tournage du Facteur avec la mort du très aimé Massimo. Mais aussi ses folies en tous genres dans La grande bouffe, le Vieux fusil, Cinéma paradiso pour n'en citer que quelques unes.
Je ne sais pas s'il est tellement question de lire sinon plutôt d'écouter Noiret nous raconter son parcours. Sa voix grave habite le livre et en sort.
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