Il n'est pas inutile que l'auteur s'autocritique. Il prépare ainsi la longue avenue des ouvrages à venir.
Ce recueil manque d'un fil conducteur. Entre les poèmes et les récits, nous avons affaire à un journal intime, qui ne se résout que par un vol sans retour dans le dernier poème.
La fin pourtant, était prévisible dans la nouvelle Les dépouilles de papier, où l'oubli et l'enfouissement semblent inexorables.
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