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Critique de BazaR
Un peu moins d'entrain avec ce tome.
Simplement parce que les mystères de ces étranges véhicules spatiaux pilotés par d'aussi étranges êtres peu communs, que les mystères associés de leurs armes et de leurs artefacts, n'avancent guère vers la lumière.
L'essentiel de l'histoire se concentre sur le retour de Saxhaüser et du professeur Schmundt qui ramènent leur bizarre cargaison vers l'Allemagne, et vers Hitler qui s'apprête à envahir la Pologne. Un voyage qui prend du temps car certains essaient de les en empêcher : les Britanniques d'abord (difficile de les voir ici dans le rôle des « méchants ») et les les « êtres peu communs ». Bref, comme le voilier, ça n'avance pas vite.
Plus intéressants sont les flashbacks qui renforcent la vision que l'on a des relations de Saxhaüser avec le nazisme en général et avec Hitler en particulier. Il semble que, tout en sachant qu'il a affaire à un dément, Saxhaüser ne peut résister à son charisme.
Les décors méditerranéens sont superbes.
Et cerise sur le gâteau, on a droit à quelques vues de la brasserie Hofbraühaus de Munich. Un endroit historique et où l'ambiance est inimitable. J'ai eu l'occasion d'y dîner et c'était assez génial.
Bien que les choses science-fictionesques n'avancent guère, je regrette un peu que les auteurs aient prêté voix et intentions aux « êtres peu communs », surtout pour leur faire dire des platitudes.
Voyons où la suite va nous mener. Il faut attendre la sortie.
Simplement parce que les mystères de ces étranges véhicules spatiaux pilotés par d'aussi étranges êtres peu communs, que les mystères associés de leurs armes et de leurs artefacts, n'avancent guère vers la lumière.
L'essentiel de l'histoire se concentre sur le retour de Saxhaüser et du professeur Schmundt qui ramènent leur bizarre cargaison vers l'Allemagne, et vers Hitler qui s'apprête à envahir la Pologne. Un voyage qui prend du temps car certains essaient de les en empêcher : les Britanniques d'abord (difficile de les voir ici dans le rôle des « méchants ») et les les « êtres peu communs ». Bref, comme le voilier, ça n'avance pas vite.
Plus intéressants sont les flashbacks qui renforcent la vision que l'on a des relations de Saxhaüser avec le nazisme en général et avec Hitler en particulier. Il semble que, tout en sachant qu'il a affaire à un dément, Saxhaüser ne peut résister à son charisme.
Les décors méditerranéens sont superbes.
Et cerise sur le gâteau, on a droit à quelques vues de la brasserie Hofbraühaus de Munich. Un endroit historique et où l'ambiance est inimitable. J'ai eu l'occasion d'y dîner et c'était assez génial.
Bien que les choses science-fictionesques n'avancent guère, je regrette un peu que les auteurs aient prêté voix et intentions aux « êtres peu communs », surtout pour leur faire dire des platitudes.
Voyons où la suite va nous mener. Il faut attendre la sortie.
