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Critique de MelBonnot
Troisième tome, troisième ambiance, mais toujours un style propre à la série « Deadline », qui tient décidemment toutes ses promesses.
Si Peter Noria nous livre une intrigue digne d'un film d'action hollywoodien, il prend un malin plaisir à flouter la frontière entre fiction et réalité. En effet, ce roman est régulièrement ponctué de faits véridiques, historiques ou encore scientifiquement plausibles.
La plume est toujours aussi agréable à lire, accessible à tout lecteur et particulièrement addictive, on ne peut s'empêcher de tourner frénétiquement les pages. Les descriptions concises contribuent pleinement à nous plonger dans un climat assez anxiogène.
Les personnages continuent leur évolution. Les dialogues entre Catherine et Christian sont truculents. L'auteur taille la part belle à l'humour noir et aux jeux de mots très second degré. Je trouve que dans cet opus les personnages secondaires sont moins empreints de clichés. On en aurait presque de l'affection pour certains.
Ce roman est riche en action, détails, invite à la réflexion, le tout sans en devenir indigeste. C'est là le talent de Peter Noria, transporter les lecteurs en donnant aux mots le pouvoir de devenir des images. Donc, oui, je l'affirme haut et fort, la Collection 120 propose réellement du cinéma à lire.
Gardez un oeil sur la montée des eaux, l'Opération Deucalion ne fait que commencer.
Lien : https://melaniebonnotauteure..
Si Peter Noria nous livre une intrigue digne d'un film d'action hollywoodien, il prend un malin plaisir à flouter la frontière entre fiction et réalité. En effet, ce roman est régulièrement ponctué de faits véridiques, historiques ou encore scientifiquement plausibles.
La plume est toujours aussi agréable à lire, accessible à tout lecteur et particulièrement addictive, on ne peut s'empêcher de tourner frénétiquement les pages. Les descriptions concises contribuent pleinement à nous plonger dans un climat assez anxiogène.
Les personnages continuent leur évolution. Les dialogues entre Catherine et Christian sont truculents. L'auteur taille la part belle à l'humour noir et aux jeux de mots très second degré. Je trouve que dans cet opus les personnages secondaires sont moins empreints de clichés. On en aurait presque de l'affection pour certains.
Ce roman est riche en action, détails, invite à la réflexion, le tout sans en devenir indigeste. C'est là le talent de Peter Noria, transporter les lecteurs en donnant aux mots le pouvoir de devenir des images. Donc, oui, je l'affirme haut et fort, la Collection 120 propose réellement du cinéma à lire.
Gardez un oeil sur la montée des eaux, l'Opération Deucalion ne fait que commencer.
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