>
Critique de moravia
Le professeur Chang est l'objet de toutes les attentions quand il se rend à Paris pour un colloque scientifique.
Il a mis au point un gaz capable d'endormir tout un bataillon sur un champ de bataille.
Pas étonnant que de nombreux services secrets s'intéressent à lui. Tous veulent connaitre la formule de ce gaz si pratique en cas de conflit. Les français vont employer la manière douce, les autres beaucoup moins... Quelques cadavres, anglais et soviétiques, jalonnent le récit mais finalement un accord sera trouvé pour satisfaire tout le monde.
Roman qui se lit facilement grâce au style agréable de Fred Noro.
Mais les ficelles sont trop grosses, les invraisemblances trop nombreuses. L'auteur termine son récit par une pirouette qui ne peut satisfaire un lecteur familier du roman d'espionnage.
Vite lu, sans doute aussi vite oublié. Même la couverture de Michel Gourdon est un ratage. Décidément pas terrible.
Deux étoiles.
Il a mis au point un gaz capable d'endormir tout un bataillon sur un champ de bataille.
Pas étonnant que de nombreux services secrets s'intéressent à lui. Tous veulent connaitre la formule de ce gaz si pratique en cas de conflit. Les français vont employer la manière douce, les autres beaucoup moins... Quelques cadavres, anglais et soviétiques, jalonnent le récit mais finalement un accord sera trouvé pour satisfaire tout le monde.
Roman qui se lit facilement grâce au style agréable de Fred Noro.
Mais les ficelles sont trop grosses, les invraisemblances trop nombreuses. L'auteur termine son récit par une pirouette qui ne peut satisfaire un lecteur familier du roman d'espionnage.
Vite lu, sans doute aussi vite oublié. Même la couverture de Michel Gourdon est un ratage. Décidément pas terrible.
Deux étoiles.
