Pari osé, que de se mettre à la place de Jésus avant, pendant et après la crucifixion.
S'immiscer dans les brèches des détails - pratiques ou non -, des non-dits ou des ellipses caractéristiques de l'écriture de l'Histoire.
Cela touche à la théologie, et Nothomb lui prête des pensées plausibles ou originales, le désacralisant un peu, quand d'autres sont à mon goût des inepties.
Dans tous les cas, ce genre d'entreprise empathique périlleuse apporte un peu de fraîcheur par rapport aux textes sacrés même si elle fait difficilement mouche (ah ?).
C'est une alerte qui nous pousse à moins boire (voire manger). Ou du moins attendre la
soif et non pas la précéder comme les pubs et le discours ambiant le matraque. le chameau est la voie !
Commenter  J’apprécie         71