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Critique de jovidalens
Oh ! un nouveau sous-genre du Roman Policier : le polar narquois !
Du polar, on a :
- l'intigue : un serial killer dont on connait dès le début l'identité
- le mobile : la passion
- un milieu : les bibliophiles d'une ville de province
- les armes ...
- les héros, sauf que là, ce n'est ni le flic, ni les victimes.
Bien écrit et rondement méné, l'auteur prend le lecteur à partie... comme celui qui se penche par-dessus votre épaule pour ajouter une remarque, exaspéremment pertinente !
Les personnages sont croqués avec humanité et tendresse.
Une préférence : le commissaire de police, un peu timide et beaucoup maladroit, qui croit en la bonté de ses congénères et finira potier céramiste.
Un joli moment de lecture, surtout si pour une fois, on a envie d'une bonne intrigue sans descriptions..."trash".
Du polar, on a :
- l'intigue : un serial killer dont on connait dès le début l'identité
- le mobile : la passion
- un milieu : les bibliophiles d'une ville de province
- les armes ...
- les héros, sauf que là, ce n'est ni le flic, ni les victimes.
Bien écrit et rondement méné, l'auteur prend le lecteur à partie... comme celui qui se penche par-dessus votre épaule pour ajouter une remarque, exaspéremment pertinente !
Les personnages sont croqués avec humanité et tendresse.
Une préférence : le commissaire de police, un peu timide et beaucoup maladroit, qui croit en la bonté de ses congénères et finira potier céramiste.
Un joli moment de lecture, surtout si pour une fois, on a envie d'une bonne intrigue sans descriptions..."trash".
