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Critique de Christelle83230
Cet ouvrage est le troisième volet des "Variations sur le thème d'une dictature africaine", pourtant cela n'est indiqué nul part, ce qui fait que je n'ai pas lu les deux volets précédents par ignorance.
Le protagoniste, un vieil homme, malade, dresse le bilan de sa vie. Nous sommes au début des années 1980, à la fin de la dictature de Siyaad Barré. On y suit donc la vie troublée liée intimement aux événements somaliens de cet homme.
L'auteur dénonce les rouages qui mènent un pays de la démocratie à la dictature avec beaucoup d'arrogance.
De belles représentations des personnages évoluant dans cette histoire, faisant la part belle aux personnages féminins notamment, mais avec une écriture austère, scolaire et sans relief.
Cet ouvrage me semblait être la lecture idéale afin de mieux appréhender la situation des nations africaines, avoir une vision autre de l'islam. Mais la lecture de cet ouvrage s'est avérée fastidieuse et complexe.
Bien que l'auteur nous invite à la méditation, Nuruddin Farah adopte un style déconcertant et métaphorique, qui m'a laissée sur le bord de la route.
Le protagoniste, un vieil homme, malade, dresse le bilan de sa vie. Nous sommes au début des années 1980, à la fin de la dictature de Siyaad Barré. On y suit donc la vie troublée liée intimement aux événements somaliens de cet homme.
L'auteur dénonce les rouages qui mènent un pays de la démocratie à la dictature avec beaucoup d'arrogance.
De belles représentations des personnages évoluant dans cette histoire, faisant la part belle aux personnages féminins notamment, mais avec une écriture austère, scolaire et sans relief.
Cet ouvrage me semblait être la lecture idéale afin de mieux appréhender la situation des nations africaines, avoir une vision autre de l'islam. Mais la lecture de cet ouvrage s'est avérée fastidieuse et complexe.
Bien que l'auteur nous invite à la méditation, Nuruddin Farah adopte un style déconcertant et métaphorique, qui m'a laissée sur le bord de la route.
