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Critique de umezzu
Premier tome de cette remarquable série, basée sur la vie de Joseph Joanovici, juif né en Bessarabie, arrivé pauvre en France et qui a fait fortune comme ferrailleur avant la seconde guerre mondiale.
Cet opus commence la série comme un long flash-back, où on voit l'arrivée en France de Joseph et de sa femme Eva. Joseph besogneux, travailleur, capable de trier le métal d'un coup de dents, à l'esprit vif et comprenant vite que le succès se bâtit sur des relations entretenues, suivies avec les autorités, au besoin par quelques menus cadeaux et avantages.
Les personnages de l'histoire se mettent en place. Joseph trouve une comptable, une secrétaire, et bien plus, en engageant Lucie : elle devient Lucie-Fer.
Les démêlés de Joanovici avec la justice après guerre permettent d'anticiper ce qui va suivre.
Le dessin de Sylvain Vallée est magnifique. On ne peut que constater la ressemblance entre Joanovici et sa photo d'identité judiciaire qui ouvre l'album. Une manière de rappeler que tout ce qui va suivre est une version romancée d'une histoire réelle portée par un personnage qui a existé.
Cet opus commence la série comme un long flash-back, où on voit l'arrivée en France de Joseph et de sa femme Eva. Joseph besogneux, travailleur, capable de trier le métal d'un coup de dents, à l'esprit vif et comprenant vite que le succès se bâtit sur des relations entretenues, suivies avec les autorités, au besoin par quelques menus cadeaux et avantages.
Les personnages de l'histoire se mettent en place. Joseph trouve une comptable, une secrétaire, et bien plus, en engageant Lucie : elle devient Lucie-Fer.
Les démêlés de Joanovici avec la justice après guerre permettent d'anticiper ce qui va suivre.
Le dessin de Sylvain Vallée est magnifique. On ne peut que constater la ressemblance entre Joanovici et sa photo d'identité judiciaire qui ouvre l'album. Une manière de rappeler que tout ce qui va suivre est une version romancée d'une histoire réelle portée par un personnage qui a existé.
