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Critique de LesMotsMagiques
Une fois n'est pas coutume, je vais vous épargner mon petit laïus sur la (non) qualité de l'écriture et sur tous les clichés. Pour le coup, j'ai vraiment passé un super moment avec ce tome. J'ai beaucoup aimé l'intrigue et j'ai apprécié d'en apprendre beaucoup plus sur Rebecca et sur sa nature (d'autant que ça explique quand même pas mal de choses sur toutes les petites bizarreries autour de son personnage).
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Par contre, si j'ai toujours eu un souci avec tout l'aspect relationnel dans cette série, ce tome était vraiment le pire à ce niveau. Je trouve vraiment les relations malsaines puisque qu'il s'agisse de relations amoureuses ou sexuelles, on a l'impression que tout se résume à un rapport de force. Tout est une question de domination, de territorialisme, de jalousie extrême qu'on est censé trouver romantique.
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J'ai aussi eu un gros problème avec une scène qui n'est ni plus ni moins qu'un viol, même si l'autrice a l'air d'avoir du mal à le qualifier de tel... Je n'irai pas jusqu'à dire qu'elle romantise le viol, mais en tout cas, elle l'excuse presque (celui qui le commet tente de résister mais une raison surnaturelle fait qu'il n'est pas capable de s'en empêcher... pauvre petit va !). Même la réaction de la personne qui subit est problématique. Alors oui, elle n'est pas très contente (même si on te fait bien comprendre qu'elle finit par apprécier le moment) mais au final elle a plus l'air de considérer ça comme un petit désagrément dans sa vie qu'un traumatisme. Je trouve quand même cette façon de présenter les choses très problématique, surtout dans un roman écrit par une femme pour un public majoritairement féminin.
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Tout ça pour dire que mon avis est encore une fois assez hypocrite : j'ai beaucoup aimé mais je ne fais que critiquer. 🤭
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Par contre, si j'ai toujours eu un souci avec tout l'aspect relationnel dans cette série, ce tome était vraiment le pire à ce niveau. Je trouve vraiment les relations malsaines puisque qu'il s'agisse de relations amoureuses ou sexuelles, on a l'impression que tout se résume à un rapport de force. Tout est une question de domination, de territorialisme, de jalousie extrême qu'on est censé trouver romantique.
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J'ai aussi eu un gros problème avec une scène qui n'est ni plus ni moins qu'un viol, même si l'autrice a l'air d'avoir du mal à le qualifier de tel... Je n'irai pas jusqu'à dire qu'elle romantise le viol, mais en tout cas, elle l'excuse presque (celui qui le commet tente de résister mais une raison surnaturelle fait qu'il n'est pas capable de s'en empêcher... pauvre petit va !). Même la réaction de la personne qui subit est problématique. Alors oui, elle n'est pas très contente (même si on te fait bien comprendre qu'elle finit par apprécier le moment) mais au final elle a plus l'air de considérer ça comme un petit désagrément dans sa vie qu'un traumatisme. Je trouve quand même cette façon de présenter les choses très problématique, surtout dans un roman écrit par une femme pour un public majoritairement féminin.
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Tout ça pour dire que mon avis est encore une fois assez hypocrite : j'ai beaucoup aimé mais je ne fais que critiquer. 🤭
