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Critique de CarolineCF
Un livre un peu bavard, un peu trop à mon goût.
Mais une construction originale pour faire avancer le récit, cerner les personnages et leur motivation à agir.
Une vieille maison perdue dans les Landes irlandaises à laquelle on accède ou que l'on quitte après avoir ouvert une douzaine de barrières et portails qui ferment les pâturages.
Daniel, mari, père et beau père, repart quelques jours à New-York pour l'anniversaire de son père avec lequel les rapports sont très distants.
Il va aussi retrouver ses 1ers enfants nés d'un premièr mariage.
Il est prof, spécialiste de linguiste, aime les mots.
Sa 2e épouse, il l'a rencontrée par hasard lors d'un pèlerinage avec les cendres de son grand-père; passage assez savoureux.
Elle, Claudette, une actrice a fuit le succès et un 1er mari, en disparaissant avec son fils, laissant planer le doute sur sa mort.
Le souvenir d'un amour de jeunesse, abandonné lors des ses études en Angleterre va revenir à la conscience de Daniel. Une culpabilité, le remords, des regrets, l'impossibilité pour lui de dire les choses à Claudette vont le faire basculer.
Le récit avance par les différents personnages qui gravitent autour de ce couple : les enfants, les leurs ou ceux nés avant leur rencontre, les adultes qui ont affaire à eux, parfois une rencontre suffit pour les inviter dans le récit.
Le temps n'est pas linéaire mais de manière impressionniste, il ajoute, compléte, nuance le récit, par des aller-retour. Il faut se laisser porter et faire confiance, on ne se perd pas, je ne me suis pas perdue.
Un chapitre construit autour du catalogue d'une vente aux enchères permet de cerner le personnage de Claudette, c'est original, même si c'est un peu long... comme le livre d'ailleurs.
Mais c'est une atmosphère qui prend le temps de s'installer, ce sont des personnages attachants, particuliers et bien construits.
Livre pris par hasard à la bibliothèque, je ne le regrette pas, même si j'ai mis du temps à le lire, car trop de travail....
Mais une construction originale pour faire avancer le récit, cerner les personnages et leur motivation à agir.
Une vieille maison perdue dans les Landes irlandaises à laquelle on accède ou que l'on quitte après avoir ouvert une douzaine de barrières et portails qui ferment les pâturages.
Daniel, mari, père et beau père, repart quelques jours à New-York pour l'anniversaire de son père avec lequel les rapports sont très distants.
Il va aussi retrouver ses 1ers enfants nés d'un premièr mariage.
Il est prof, spécialiste de linguiste, aime les mots.
Sa 2e épouse, il l'a rencontrée par hasard lors d'un pèlerinage avec les cendres de son grand-père; passage assez savoureux.
Elle, Claudette, une actrice a fuit le succès et un 1er mari, en disparaissant avec son fils, laissant planer le doute sur sa mort.
Le souvenir d'un amour de jeunesse, abandonné lors des ses études en Angleterre va revenir à la conscience de Daniel. Une culpabilité, le remords, des regrets, l'impossibilité pour lui de dire les choses à Claudette vont le faire basculer.
Le récit avance par les différents personnages qui gravitent autour de ce couple : les enfants, les leurs ou ceux nés avant leur rencontre, les adultes qui ont affaire à eux, parfois une rencontre suffit pour les inviter dans le récit.
Le temps n'est pas linéaire mais de manière impressionniste, il ajoute, compléte, nuance le récit, par des aller-retour. Il faut se laisser porter et faire confiance, on ne se perd pas, je ne me suis pas perdue.
Un chapitre construit autour du catalogue d'une vente aux enchères permet de cerner le personnage de Claudette, c'est original, même si c'est un peu long... comme le livre d'ailleurs.
Mais c'est une atmosphère qui prend le temps de s'installer, ce sont des personnages attachants, particuliers et bien construits.
Livre pris par hasard à la bibliothèque, je ne le regrette pas, même si j'ai mis du temps à le lire, car trop de travail....
