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Critique de Leg12
Une dystopie, un curieux livre, bien différent de ce que peut nous offrir habituellement Joyce Carol Oates.
Nous voici transportés en 2034 dans une société totalitaire, qui règle les problèmes de dissidence de façon radicale, par la Suppression (physique et mémorielle) ou l'Exil (temporel)
L'héroïne, elle, est donc télé-transportée en 1959 dans le Wisconsin.
Nous avons donc à subir les pleurnicheries continuelles de la dite héroïne, des pages et des pages de considérations sur le béhaviorisme, une histoire d'amour un peu cucul la praline avec un professeur. Bref, il faut quand même s'accrocher un peu...
Et puis finalement, (je crois que) le dernier chapitre sauve tout le reste (?).
Bref, ce n'est certainement pas le meilleur roman de Madame Oates, ça laisse une impression bizarre...mais les curieux peuvent tenter l'aventure.
Nous voici transportés en 2034 dans une société totalitaire, qui règle les problèmes de dissidence de façon radicale, par la Suppression (physique et mémorielle) ou l'Exil (temporel)
L'héroïne, elle, est donc télé-transportée en 1959 dans le Wisconsin.
Nous avons donc à subir les pleurnicheries continuelles de la dite héroïne, des pages et des pages de considérations sur le béhaviorisme, une histoire d'amour un peu cucul la praline avec un professeur. Bref, il faut quand même s'accrocher un peu...
Et puis finalement, (je crois que) le dernier chapitre sauve tout le reste (?).
Bref, ce n'est certainement pas le meilleur roman de Madame Oates, ça laisse une impression bizarre...mais les curieux peuvent tenter l'aventure.
