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Critique de Aveline
Par bien des aspects, cette histoire m'a fait penser à la série Supernatural (dont je suis énorme fan): nous avons deux chasseurs qui partagent une grande complicité et même s'ils ne sont pas frères, les héros, Sébastian et Cal, se retrouvent sur des missions communes mêlant chasses aux démons et autres monstres.
Nous sommes au Moyen-Age.
Il est encore d'usage de brûler les femmes accusées de sorcellerie et l'Eglise dispose d'une guilde secrète chargée de débusquer et de tuer les envoyés du Diable.
Marion Obry instaure une mythologie centrée autour des anges déchus, des démons et des vampires dont une s'intègre presque naturellement au duo formé par Sebastian et Cal. Cette vampire, Scéza m'a rappelée étrangement Carmilla de le Fanu.
Malgré les touches d'érotisme, le roman peut être lu par tous, pour peu qu'on ait l'estomac accroché parce qu'il y a tout de même des scènes sanglantes ou légèrement dégueulasses.
Cal est spécial. Habituée à ce genre d'intrigues, le fait qu'il ait perdu la mémoire m'a tout de suite fait deviner sa nature non-humaine même si en dépit de cela, je n'ai pas trouvé ce qu'elle était précisément. Néanmoins, quand elle a été révélée, cela tombait sous le sens.
J'ai apprécié Scéza. Au premier abord, elle fait penser à une certaine Comtesse Bathory mais dans une version plus gentille, ce qui fait qu'elle dégage pas mal de charisme. Evidemment, c'est une vampire, me direz-vous en roulant des yeux. Oui mais je pense que ses raisons pour s'allier aux Gentils doivent être intéressantes à découvrir.
L'histoire est plutôt commune mais elle est agréable à suivre.
Au final, ce premier tome est une bonne mise en bouche: je suis curieuse de connaître la suite. Pas au point de trépigner d'impatience mais si je tombe dessus, je la lirai avec plaisir.
Lien : http://lesentierdesmots.word..
Nous sommes au Moyen-Age.
Il est encore d'usage de brûler les femmes accusées de sorcellerie et l'Eglise dispose d'une guilde secrète chargée de débusquer et de tuer les envoyés du Diable.
Marion Obry instaure une mythologie centrée autour des anges déchus, des démons et des vampires dont une s'intègre presque naturellement au duo formé par Sebastian et Cal. Cette vampire, Scéza m'a rappelée étrangement Carmilla de le Fanu.
Malgré les touches d'érotisme, le roman peut être lu par tous, pour peu qu'on ait l'estomac accroché parce qu'il y a tout de même des scènes sanglantes ou légèrement dégueulasses.
Cal est spécial. Habituée à ce genre d'intrigues, le fait qu'il ait perdu la mémoire m'a tout de suite fait deviner sa nature non-humaine même si en dépit de cela, je n'ai pas trouvé ce qu'elle était précisément. Néanmoins, quand elle a été révélée, cela tombait sous le sens.
J'ai apprécié Scéza. Au premier abord, elle fait penser à une certaine Comtesse Bathory mais dans une version plus gentille, ce qui fait qu'elle dégage pas mal de charisme. Evidemment, c'est une vampire, me direz-vous en roulant des yeux. Oui mais je pense que ses raisons pour s'allier aux Gentils doivent être intéressantes à découvrir.
L'histoire est plutôt commune mais elle est agréable à suivre.
Au final, ce premier tome est une bonne mise en bouche: je suis curieuse de connaître la suite. Pas au point de trépigner d'impatience mais si je tombe dessus, je la lirai avec plaisir.
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