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Critique de Alfaric
Au-delà des gros délires de l'auteur qui ont fait la renommée du mangaka, c'est quand même un gros bordel ce tome 13… :
- Baroque Works change de nature en fonction des chapitres : chasseurs de primes, criminels mafieux, mouvement terroriste, mouvement révolutionnaire, organisation criminelle calquée sur le modèle de SPECTRE de James Bond… (Il n'y a aucune cohérence, et ce n'est pas la peine d'en chercher puisque tout est improvisé au petit bonheur la chance au fur et à mesure des chapitres)
- Nami ressemble comme 2 gouttes d'eaux à Miss Wednesday / Princesse Vivi qui ressemble à deux gouttes d'aux à Miss Valentine… le mangaka essaie de ne pas faire déborder le vase avec Miss Allsunday mais c'set plus pire en fait tant il semble se faire violence pour faire un personne féminin qui ne soit le clone de tous ses autres personnages féminins (qui est ici n°2 de Baroque Works mais qui deviendra n°1 par la grâce du nawakisme / jmenfoutisme dans les tomes suivants)
- on change immédiatement de fusil d'épaule puisque que les membres de Baroque Works les plus en vue se révèlent être des agents du Royaume d'Alabasta (on nous répète sans cesse qu'il faut protéger la princesse Vivi car elle serait le dernier espoir de son royaume, mais elle n'avait qu'à se mettre autant dans le pétrin toute seule !)
Et bien sûr, l'identité du supervilain of the week qu'il ne faut surtout pas révéler et immédiatement révélée par une grosse bourde…
- la connerie des uns et des autres restent le principal moteur des péripéties puisque que les membres de Baroque Works se neutralisent eux-mêmes par leurs maladresses et leurs incompétences tandis que les envoyés du Big Boss se font latter en dommage collatéral de la baston entre Zorro et Luffy qui est persuadé que Baroque Works c'est des gentils et que son compagnon de la première heure est un méchant (il est quand même un peu débile notre ami Luffy ^^)
- on continue dans la facilité avec des méchants très méchants, très bavards sur leurs pouvoirs et leurs attaques top délire et qui ne lésinent pas sur les tirages de supervilains de nanars yankees, et avec des gentils très gentils, altruistes et courageux, mais naïfs et sanguins voire un peu débiles sur les bord (qui recourent systématiquement aux mêmes gimmicks, grimaces, rires, pleurs & cie de tomes en tomes)
- cette histoire de Log Pose et d'Eternal Pose c'est une bonne grosse ficelle de nanars yankees : les gentils vont galérer pour aller du point A au point B alors que dans le même temps les méchants vont effectuer tranquillement plusieurs allers-retours entre ces mêmes points A et B… Soupirs
- non, moi cela ne me fait plus rire les gros méchants qui lancent des crottes de nez explosives (celui-ci sera plagié comme un nombre incalculable de créations d'Eiichirô Oda par Hira Mashima : c'est Cancer qui va hériter du design du perso et Jackal de ses pouvoirs, histoire de brouiller un peu les pistes). Si on ajoute une supervilaine qui change de poids à volonté, du poids plume ou poids lourd, on tombe dans les clichés…
Par contre les derniers chapitres avec une île mystérieuse inspirée de ces bons vieux mondes perdus, arpenté par deux vikings géants qui se livrent un duel séculaire sont assez cools… wait and see comme on dit ? ben non, on retombe pour la énième fois dans le schéma 1 île, 1 méchant et ses lieutenants, toute le monde se sépare comme dans un épisode lamba de "Scooby-Doo", puis les potes de Luffy affrontent les lieutenants du méchant et Luffy affronte le gros méchant…
IRL on me tanne : « non, mais tu vas voir car à partir du tome XX c'est trop de la balle ! »…
J'ai quand même l'impression que cette série s'adresse prioritairement aux moins de 12 ans et j'ai plus de 12 ans depuis longtemps… du coup, désolé de pourrir le groove des fans de la team Luffy car il faut bien reconnaître qu'au vu du nombre de cases, de phylactères, de scènes d'action et de séquences émotion les lecteurs en ont pour leur argent !
- Baroque Works change de nature en fonction des chapitres : chasseurs de primes, criminels mafieux, mouvement terroriste, mouvement révolutionnaire, organisation criminelle calquée sur le modèle de SPECTRE de James Bond… (Il n'y a aucune cohérence, et ce n'est pas la peine d'en chercher puisque tout est improvisé au petit bonheur la chance au fur et à mesure des chapitres)
- Nami ressemble comme 2 gouttes d'eaux à Miss Wednesday / Princesse Vivi qui ressemble à deux gouttes d'aux à Miss Valentine… le mangaka essaie de ne pas faire déborder le vase avec Miss Allsunday mais c'set plus pire en fait tant il semble se faire violence pour faire un personne féminin qui ne soit le clone de tous ses autres personnages féminins (qui est ici n°2 de Baroque Works mais qui deviendra n°1 par la grâce du nawakisme / jmenfoutisme dans les tomes suivants)
- on change immédiatement de fusil d'épaule puisque que les membres de Baroque Works les plus en vue se révèlent être des agents du Royaume d'Alabasta (on nous répète sans cesse qu'il faut protéger la princesse Vivi car elle serait le dernier espoir de son royaume, mais elle n'avait qu'à se mettre autant dans le pétrin toute seule !)
Et bien sûr, l'identité du supervilain of the week qu'il ne faut surtout pas révéler et immédiatement révélée par une grosse bourde…
- la connerie des uns et des autres restent le principal moteur des péripéties puisque que les membres de Baroque Works se neutralisent eux-mêmes par leurs maladresses et leurs incompétences tandis que les envoyés du Big Boss se font latter en dommage collatéral de la baston entre Zorro et Luffy qui est persuadé que Baroque Works c'est des gentils et que son compagnon de la première heure est un méchant (il est quand même un peu débile notre ami Luffy ^^)
- on continue dans la facilité avec des méchants très méchants, très bavards sur leurs pouvoirs et leurs attaques top délire et qui ne lésinent pas sur les tirages de supervilains de nanars yankees, et avec des gentils très gentils, altruistes et courageux, mais naïfs et sanguins voire un peu débiles sur les bord (qui recourent systématiquement aux mêmes gimmicks, grimaces, rires, pleurs & cie de tomes en tomes)
- cette histoire de Log Pose et d'Eternal Pose c'est une bonne grosse ficelle de nanars yankees : les gentils vont galérer pour aller du point A au point B alors que dans le même temps les méchants vont effectuer tranquillement plusieurs allers-retours entre ces mêmes points A et B… Soupirs
- non, moi cela ne me fait plus rire les gros méchants qui lancent des crottes de nez explosives (celui-ci sera plagié comme un nombre incalculable de créations d'Eiichirô Oda par Hira Mashima : c'est Cancer qui va hériter du design du perso et Jackal de ses pouvoirs, histoire de brouiller un peu les pistes). Si on ajoute une supervilaine qui change de poids à volonté, du poids plume ou poids lourd, on tombe dans les clichés…
Par contre les derniers chapitres avec une île mystérieuse inspirée de ces bons vieux mondes perdus, arpenté par deux vikings géants qui se livrent un duel séculaire sont assez cools… wait and see comme on dit ? ben non, on retombe pour la énième fois dans le schéma 1 île, 1 méchant et ses lieutenants, toute le monde se sépare comme dans un épisode lamba de "Scooby-Doo", puis les potes de Luffy affrontent les lieutenants du méchant et Luffy affronte le gros méchant…
IRL on me tanne : « non, mais tu vas voir car à partir du tome XX c'est trop de la balle ! »…
J'ai quand même l'impression que cette série s'adresse prioritairement aux moins de 12 ans et j'ai plus de 12 ans depuis longtemps… du coup, désolé de pourrir le groove des fans de la team Luffy car il faut bien reconnaître qu'au vu du nombre de cases, de phylactères, de scènes d'action et de séquences émotion les lecteurs en ont pour leur argent !
