>
Critique de Alfaric
Dans ce tome 63, intitulé "Otohime et Tiger", on Hody Jones qui réalise son coup d'Etat, Vander Decken IX toujours à la poursuite de la Princesse Shirahoshi, qui elle en escapade avec Luffy et Mégalo tandis que le pirate esclavagiste Caribou continue d'enlever des sirènes un peu partout sur l'île des hommes-poissons : on est entre "Super Mario Galaxy" et "Street Fighter" ^^
Dans la seconde moitié du tome le mangaka développe comme il sait bien le faire un long flashback, où on suit en parallèle les destins de Fisher Tiger le Spartacus homme-poisson qui a choisi de renoncer à son futur pour sauver ses semblables de leur présent (représentant l'universel courant révolutionnaire), et d'Otohime la reine suffragette qui a choisi d'endurer le présent pour mieux changer le futur (représentant l'universel courant réformiste), mais aussi ceux de Jinbei, d'Arlong et d'Hody Jones… le message humaniste qui est véhiculé est très beau : face à la peur et à l'ignorance, cultivons la liberté, l'égalité et la fraternité et oublions les haines du passé pour construire un avenir plus beau, plus grand et surtout plus serein… Malheureusement je n'aime pas qu'on me force la main, donc les chialades diluviennes à répétition me vont le même effet que les rires enregistrés des sitcoms américaines (ça et la reine Otohime qui comme elle est une maman, pleure tout le temps entre deux distributions de baffes aux enfants… passé un cap, les clichés sexistes mêmes détournés, ça me saoul !)
Dans la seconde moitié du tome le mangaka développe comme il sait bien le faire un long flashback, où on suit en parallèle les destins de Fisher Tiger le Spartacus homme-poisson qui a choisi de renoncer à son futur pour sauver ses semblables de leur présent (représentant l'universel courant révolutionnaire), et d'Otohime la reine suffragette qui a choisi d'endurer le présent pour mieux changer le futur (représentant l'universel courant réformiste), mais aussi ceux de Jinbei, d'Arlong et d'Hody Jones… le message humaniste qui est véhiculé est très beau : face à la peur et à l'ignorance, cultivons la liberté, l'égalité et la fraternité et oublions les haines du passé pour construire un avenir plus beau, plus grand et surtout plus serein… Malheureusement je n'aime pas qu'on me force la main, donc les chialades diluviennes à répétition me vont le même effet que les rires enregistrés des sitcoms américaines (ça et la reine Otohime qui comme elle est une maman, pleure tout le temps entre deux distributions de baffes aux enfants… passé un cap, les clichés sexistes mêmes détournés, ça me saoul !)
