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Critique de Meps
J'ai beau savoir que ce genre de manga fonctionne par arc, je finis toujours par être lassé des arcs dans leur durée, et les tomes qui ne concernent qu'un seul arc me semblent interminables. le tome précédent avait réussi à amoindrir l'effet grâce à des flashbacks... et celui-ci est un tome de changement d'arc, donc pas trop d'ennui à l'horizon.
La fin du combat Luffy-Krieg traîne un peu en longueur puisque les lieutenants ont été mis de côté. Heureusement la leçon (affrontement armes contre volonté) est plutôt positive. La suite est un peu prévisible (on le sait tous depuis le début qui sera le nouveau cuistot) et les adieux larmoyants un peu ridicules.
Heureusement on enchaîne sur un nouvel arc où on découvre vers où est partie Nami et on découvre ainsi un nouveau chef pirate et de nouveaux acolytes, très caractéristiques cette fois-ci. La séparation en deux de l'équipage permet en plus de donner une plus belle partition à Usopp et à Zorro.
Plus de variété donc avec le changement d'arc mais la mécanique reste quand même un peu redondante, hormis le positionnement intermédiaire et original de Nami. Au niveau dessin, c'est assez hallucinant de voir l'expression unique donnée à tous les personnages en colère ou en larmes, pas de subtilité au programme, que de l'efficace. le public visé semble quand même clairement jeune, les scénarios ne vont pas chercher dans la complexité.
La fin du combat Luffy-Krieg traîne un peu en longueur puisque les lieutenants ont été mis de côté. Heureusement la leçon (affrontement armes contre volonté) est plutôt positive. La suite est un peu prévisible (on le sait tous depuis le début qui sera le nouveau cuistot) et les adieux larmoyants un peu ridicules.
Heureusement on enchaîne sur un nouvel arc où on découvre vers où est partie Nami et on découvre ainsi un nouveau chef pirate et de nouveaux acolytes, très caractéristiques cette fois-ci. La séparation en deux de l'équipage permet en plus de donner une plus belle partition à Usopp et à Zorro.
Plus de variété donc avec le changement d'arc mais la mécanique reste quand même un peu redondante, hormis le positionnement intermédiaire et original de Nami. Au niveau dessin, c'est assez hallucinant de voir l'expression unique donnée à tous les personnages en colère ou en larmes, pas de subtilité au programme, que de l'efficace. le public visé semble quand même clairement jeune, les scénarios ne vont pas chercher dans la complexité.
