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Critique de SoWond
C'est la première fois que je lis un manga avec des thématiques aussi lourdes et tabous. La violence familiale, le patricide et la culpabilité ne sont pas des thèmes que je croise régulièrement dans mes lectures.
Je comprends le besoin de parler de ce type de sujet, mais il faut beaucoup de doigté pour en parler sans rebuter les lecteurs.
Lorsque la violence conjugale représentée en images, elle a aussi une autre portée que lorsqu'elle ne nous est décrite que par des mots. Ici les regards des parents veulent tout dire, de la colère et besoin de contrôle du père à la détresse de la mère.
Cette série amène aussi une autre perspective sur des sujet un peu plus classique dans l'univers des supers héros, que ferions nous de nos supers pouvoirs si nous en avions? Est-ce qu'on les utiliserait pour la paix dans le monde ou pour nous débarrasser de ceux qui nous empoisonne la vie?
Je dirais que jusqu'à présent (ce n'est que le premier tome de cette quadrilogie) c'est assez réussi comme amorce.
Les illustrations aident à amener doucement les évènements les plus durs, j'aime le trait léger et les arrière-fonds épurés. J'aime l'attention que Ogino accorde aux yeux de ses personnages.
Aya est une jeune fille meurtrie et malgré la douleur qui se dégage d'elle, elle est attachante et j'irai au bout de son histoire (mais une part de moi est bien contente qu'il n'y ait que 4 tomes).
Bref un manga assez sombre mais qui contient juste assez de lumière pour nous donner de l'espoir.
Je comprends le besoin de parler de ce type de sujet, mais il faut beaucoup de doigté pour en parler sans rebuter les lecteurs.
Lorsque la violence conjugale représentée en images, elle a aussi une autre portée que lorsqu'elle ne nous est décrite que par des mots. Ici les regards des parents veulent tout dire, de la colère et besoin de contrôle du père à la détresse de la mère.
Cette série amène aussi une autre perspective sur des sujet un peu plus classique dans l'univers des supers héros, que ferions nous de nos supers pouvoirs si nous en avions? Est-ce qu'on les utiliserait pour la paix dans le monde ou pour nous débarrasser de ceux qui nous empoisonne la vie?
Je dirais que jusqu'à présent (ce n'est que le premier tome de cette quadrilogie) c'est assez réussi comme amorce.
Les illustrations aident à amener doucement les évènements les plus durs, j'aime le trait léger et les arrière-fonds épurés. J'aime l'attention que Ogino accorde aux yeux de ses personnages.
Aya est une jeune fille meurtrie et malgré la douleur qui se dégage d'elle, elle est attachante et j'irai au bout de son histoire (mais une part de moi est bien contente qu'il n'y ait que 4 tomes).
Bref un manga assez sombre mais qui contient juste assez de lumière pour nous donner de l'espoir.
