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Critique de bdelhausse
Le tome 2 se terminait par l'apparition d'un nouveau personnage. Un peu louche, assez mal habillé. Mal rasé. le genre qui n'inspire pas confiance.
Et pourtant Nanato Mukaido se révèle un compagnon très attachant. Lui aussi est un candidat à devenir dieu. Et comme Saki ou Mirai, il a des valeurs humaines, mais le plan qu'il échafaude revient ni plus ni moins à éliminer Metropoliman. Il révèle peu à peu ses motivations. Atteint d'un cancer incurable, il se bat pour sa famille et surtout ses enfants.
Le trio va se trouver mêlé à une série de crimes en série. La tueuse, ravissante adolescente aux charmes bien développés et dessinés, se focalise sur d'autres adolescentes. Sanguinaire et cruelle, elle pratique un humour macabre. Les scènes mélangent un érotisme assez marqué et de la violence bien sentie. le cocktail est détonant et plutôt bien mené, jusqu'à la limite du supportable.
De fil en aiguille, le trio va resserrer son étau sur la tueuse. Mais ils se rendent compte un peu tard qu'en fait, elle les attend au sommet d'une tour, seulement accessible aux êtres ailés. Un piège, donc.
Le tome est lent au départ, mais il progresse vers un climax final assez bien foutu, qui plonge le lecteur (fatalement) dans le tome suivant...
Et pourtant Nanato Mukaido se révèle un compagnon très attachant. Lui aussi est un candidat à devenir dieu. Et comme Saki ou Mirai, il a des valeurs humaines, mais le plan qu'il échafaude revient ni plus ni moins à éliminer Metropoliman. Il révèle peu à peu ses motivations. Atteint d'un cancer incurable, il se bat pour sa famille et surtout ses enfants.
Le trio va se trouver mêlé à une série de crimes en série. La tueuse, ravissante adolescente aux charmes bien développés et dessinés, se focalise sur d'autres adolescentes. Sanguinaire et cruelle, elle pratique un humour macabre. Les scènes mélangent un érotisme assez marqué et de la violence bien sentie. le cocktail est détonant et plutôt bien mené, jusqu'à la limite du supportable.
De fil en aiguille, le trio va resserrer son étau sur la tueuse. Mais ils se rendent compte un peu tard qu'en fait, elle les attend au sommet d'une tour, seulement accessible aux êtres ailés. Un piège, donc.
Le tome est lent au départ, mais il progresse vers un climax final assez bien foutu, qui plonge le lecteur (fatalement) dans le tome suivant...
