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Critique de Noctenbule


On s'attendait à en savoir plus Kôga comme annoncé en fin du tome 4. Pourquoi a t'il des plantes vertes chez lui? Qui est cette autre femme qui le hante? Qui est l'adolescente qui lui adresse des photos d'elle? On n'en saura toujours rien. Par contre, Mari Okaza s'attarde plus sur le couple Kaoru/Kôga. Leur rapport est toujours dysfonctionnel et tendu. Elle se contente de chaque moment qu'importe ce que c'est. Même un simple regard l'a satisfait. Une vraie attitude d'une adolescente qui ne veut pas trop exiger pour continuer à se faire aimer. Toutefois, elle paraît beaucoup moins cruche que précédemment. le côté lamentation passe cette fois-ci du côté des hommes. Kôga n'arrête pas de faire des remarques sur son âge. Il ne peut pas se projeter dans l'avenir car il est trop vieux. Il ne peut pas faire l'amour à l'arrière d'une voiture car il est trop vieux. Pas besoin de mettre une pièce pour entendre ce discours inlassablement. Même constat pour Shiro qui a été à son tour odieux pour cacher son amour. Il ne veut pas qu'elle quitte son local au contraire. Impossible de lui dire, la peur le saisit au trippe. On se demande s'il faut en rire ou en être dépité. C'est navrant de voir des personnages se comporter ainsi. Inlassablement, nous sommes dans le mal-être que chacun cultive avec ferveur. le tome se conclut sur une note assez étrange où le duo principal se déclare leur flamme. Quel sens va être donné à ce "Je t'aime". Surement des ennuis et encore son lot de larmes. Et oui, parce que ça n'arrête pas de couler à tout va content ou pas. Peut-être que la mangaka a conclu un contrat avec un marchant de mouchoirs avec sa série. Bien que nous n'ayons pas vraiment envie de se moucher en tournant les pages. L'émotion de romance n'est vraiment pas au rendez-vous. Bien au contraire. Toutefois, on va poursuivre la série, on ne sait jamais.
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