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Critique de unbouquinetuncafe
J'ai aimé le roman, mais il y a eu quelques longueurs, j'ai du m'accrocher à quelques reprises pour ne pas arrêter ma lecture. J'ai beaucoup aimé les personnages principaux (sauf Summer, vous connaissez mon aversion pour les personnages toxiques, manipulateurs et égocentriques), et les liens qui se créent entre eux durant l'enquête.
Concernant le coupable, je ne l'avais même pas soupçonné. Pourtant, j'ai soupçonné l'entièreté de la population mondiale (je ne mens même pas, j'ai soupçonné mes voisins, les pauvres).
Si j'ai dû me forcer à avancer durant la première moitié du roman, les 100 dernières pages m'ont plongée dans l'enquête, je ne voulais plus lâcher ma lecture ! le dernier chapitre montre l'évolution de Mia, j'ai aimé l'idée de montrer la suite des aventures des personnages après à la résolution du meurtre, mais pourquoi ne pas écrire ce qui se passe pour Brynn ?
Summer. Je ne l'aime pas beaucoup (élu euphémisme de l'année 2020). Elle est manipulatrice, toxique, menace et insulte ses amies, et veut être le centre de l'attention constamment. Oui, elle a un sacré background (elle a été trimbalée de famille d'accueil en famille d'accueil, est espionnée par les Ball, chez qui elle vit, a des problèmes à l'école et a subit des violences physiques étant plus jeunes), mais ça ne pardonne en aucun cas son attitude vis-à-vis de Brynn et Mia. Son côté psychopathe/tueuse de chats (oui oui, vous lisez bien) n'arrange rien.
Le roman traite de bien plus qu'un « simple » meurtre : l'homosexualité et l'homophobie, le harcèlement et le cyber-harcèlement, les violences faites au enfants et leurs répercussions, les difficultés scolaires…
Je vous le recommande, mais si vous hésitez à arrêter votre lecture en plein milieu, faites-vous violences et continuez, la suite en vaut le coup !
Lien : https://unbouquinetuncafe.wo..
Concernant le coupable, je ne l'avais même pas soupçonné. Pourtant, j'ai soupçonné l'entièreté de la population mondiale (je ne mens même pas, j'ai soupçonné mes voisins, les pauvres).
Si j'ai dû me forcer à avancer durant la première moitié du roman, les 100 dernières pages m'ont plongée dans l'enquête, je ne voulais plus lâcher ma lecture ! le dernier chapitre montre l'évolution de Mia, j'ai aimé l'idée de montrer la suite des aventures des personnages après à la résolution du meurtre, mais pourquoi ne pas écrire ce qui se passe pour Brynn ?
Summer. Je ne l'aime pas beaucoup (élu euphémisme de l'année 2020). Elle est manipulatrice, toxique, menace et insulte ses amies, et veut être le centre de l'attention constamment. Oui, elle a un sacré background (elle a été trimbalée de famille d'accueil en famille d'accueil, est espionnée par les Ball, chez qui elle vit, a des problèmes à l'école et a subit des violences physiques étant plus jeunes), mais ça ne pardonne en aucun cas son attitude vis-à-vis de Brynn et Mia. Son côté psychopathe/tueuse de chats (oui oui, vous lisez bien) n'arrange rien.
Le roman traite de bien plus qu'un « simple » meurtre : l'homosexualité et l'homophobie, le harcèlement et le cyber-harcèlement, les violences faites au enfants et leurs répercussions, les difficultés scolaires…
Je vous le recommande, mais si vous hésitez à arrêter votre lecture en plein milieu, faites-vous violences et continuez, la suite en vaut le coup !
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