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Critique de MaiteBravo


Renato Olivieri avait 25 ans dans les années 50, quand est né ce qu'on appelle le roman policier de procédure, où ce sont de véritables policiers qui mènent...la procédure, vous l'avez deviné. Nous sommes donc avec des individus faillibles, qui ont aussi, ou essaient d'avoir, des vies.
Le commissaire inventé par Renato Olivieri est peut-être faillible (il n'aime pas les voyages, ce qui a été une des raisons de son divorce), mais il compense largement par trois qualités. 1, il ressemble à Lino Ventura, 2, il est bienveillant, 3, il regarde bien les femmes. Et je devrais dire, 4, il ressemble à Lino Ventura. Oui, j'avoue que pour moi, cette qualité compte double.
Dans ce second tome, c'est parce que sa petite amie s'est inquiétée pour une copine que le commissaire va découvrir un cadavre. Ce 15 août, dans un Milan déserté pour cause de vacances et de chaleur, il va donc lentement mais sûrement démêler les fils qui étranglent la relation d'une mère, de sa fille, et de ceux qui les entourent.
Roman de procédure, donc, où on avance de façon classique et classe dans l'enquête, et surtout roman d'atmosphère. Milan, les années 70, l'été, tout est très bien rendu.
Je n'avais pas acheté tout de suite le tome 3 et maintenant, je le regrette, car j'enchainerais bien.
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