Sonia, treize ans, vit à Nice avec sa Babouchka, extravagante grand-mère toujours empreinte de l'histoire des tsars.
Sa mère part tout le temps, sans donner de véritables explications.
Son père n'a pas très envie de l'avoir chez lui.
Entre l'aïeule et sa petite fille existe une grande complicité. Babouchka étant admise à l'hôpital après une chute, voilà Sonia livrée à elle-même, avec toutes ses questions.
L'histoire est belle, émouvante, bien écrite.
Mais les réflexions de Sonia me semblent bien matures pour une enfant de treize ans, et il semble peu probable qu'elle puisse être ainsi livrée à elle-même sans que quelqu'un n'intervienne.
Dommage, ça ôte de la crédibilité au roman.
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