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Critique de Aurorum
Je tiens à remercier les éditions L'Archipel et Babelio pour m'avoir fait découvrir ce livre lors de la dernière opération Masse Critique.
La première chose qui transparaît dans ce roman est la solitude d'Elizabeth. On découvre petit à petit, son mode de vie volontairement coupé du monde. Elle passe le plus clair de son temps dans son appartement, dans une pénombre qu'elle trouve rassurante et protectrice. Tout bascule quand le facteur livre par erreur un colis qui lui été destiné à son jeune voisin qui porte le même nom de famille. Quand ce dernier se fait agresser au pied de l'immeuble, Elizabeth ne réfléchie pas deux fois et vole à son secours, elle fait également la connaissance d'Otto, libraire à la retraite. Ces deux hommes vont devenir le centre de son nouveau monde, avec lesquels elle peut enfin s'ouvrir, se séparer de son passé qui l'a accablé si longtemps.
Il y a d'autres moyens d'expression que la parole : le dessin, la littérature, la musique ... Elizabeth, Elias et Otto, les trois personnages solitaires de ce roman qui avec, des petits moments quotidiens simples vont enfin (re)découvrir le bonheur d'être ensemble et de partager. On se laisse emporter par les personnages blessés par la vie mais l'optimisme et les bons sentiments vont les aider à avancer. Pour résumé : un livre assez court, qui se lit rapidement et une écriture poétique, de bons ingrédients pour passer une bonne lecture.
La première chose qui transparaît dans ce roman est la solitude d'Elizabeth. On découvre petit à petit, son mode de vie volontairement coupé du monde. Elle passe le plus clair de son temps dans son appartement, dans une pénombre qu'elle trouve rassurante et protectrice. Tout bascule quand le facteur livre par erreur un colis qui lui été destiné à son jeune voisin qui porte le même nom de famille. Quand ce dernier se fait agresser au pied de l'immeuble, Elizabeth ne réfléchie pas deux fois et vole à son secours, elle fait également la connaissance d'Otto, libraire à la retraite. Ces deux hommes vont devenir le centre de son nouveau monde, avec lesquels elle peut enfin s'ouvrir, se séparer de son passé qui l'a accablé si longtemps.
Il y a d'autres moyens d'expression que la parole : le dessin, la littérature, la musique ... Elizabeth, Elias et Otto, les trois personnages solitaires de ce roman qui avec, des petits moments quotidiens simples vont enfin (re)découvrir le bonheur d'être ensemble et de partager. On se laisse emporter par les personnages blessés par la vie mais l'optimisme et les bons sentiments vont les aider à avancer. Pour résumé : un livre assez court, qui se lit rapidement et une écriture poétique, de bons ingrédients pour passer une bonne lecture.
