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Critique de fanfanouche24
Une messe des morts athée écrite avec une sobriété exemplaire, par le philosophe, Michel Onfray, en hommage à sa compagne, disparue en 2013.
Epoustouflée par la force et la sérénité des mots choisis. Un grand nombre des textes brefs se terminent par la même phrase, comme certaines chansons ou certaines prières... composées d'un même refrain. Ce dernier est significatif du ton de cet hommage . Pas de complainte, mais la force et la conviction de vivre la mort d'un être proche dans "le grand cycle naturel de la transformation et non de la disparition" :
La mort n'est pas un bien
Elle n'est pas non plus un mal
Elle est.
Par-delà le bien et le mal.
La force et le bouleversant de ce "requiem athée" est justement dans cet hymne à la vie enchâssée dans l'immensité et mystère de l'univers. Très admirative de cette sérénité et perception d'un grand Tout, qui nous dépasse.
Epoustouflée par la force et la sérénité des mots choisis. Un grand nombre des textes brefs se terminent par la même phrase, comme certaines chansons ou certaines prières... composées d'un même refrain. Ce dernier est significatif du ton de cet hommage . Pas de complainte, mais la force et la conviction de vivre la mort d'un être proche dans "le grand cycle naturel de la transformation et non de la disparition" :
La mort n'est pas un bien
Elle n'est pas non plus un mal
Elle est.
Par-delà le bien et le mal.
La force et le bouleversant de ce "requiem athée" est justement dans cet hymne à la vie enchâssée dans l'immensité et mystère de l'univers. Très admirative de cette sérénité et perception d'un grand Tout, qui nous dépasse.
