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Critique de OmbelineClarke
Et pour commencer en beauté ma collaboration avec Les éditions Explicites, voici ma chronique de (n)ever, romance sensuelle belge écrite par Oriane Quillqueen.
4/5 sur l'Echelle de la Saveur Livresque
Résumé : Sandra Mullens et Victor Klein fréquentent la même école, mais pas avec les mêmes habitudes. Alors que Victor est agacé par chaque gloussement émis pour lui, Sandra enchaîne les conquêtes à partir des défis que ses copines et elles se lancent à tour de bras. Consciente de ses charmes, rien ne semble arrêter la meneuse du groupe des dragueuses invétérées. C'est alors que ses amies lui posent le défi ultime, en dernière année : passer à l'acte avec Victor, devenu le bel homme de dix-neuf ans avec qui seule une timide a prétendu un jour avoir eu une liaison. Sandra accepte le pari, mais échoue malgré ses approches qu'elle pensait infaillibles.
Sept ans plus tard, les anciens élèves se retrouvent lors d'une soirée. Aussi joueuse que par le passé, les amies de Sandra remettent sur le tapis son échec. Heurtée dans sa fierté, elle jure d'y parvenir un jour ! Ça tombe bien... Victor est là aussi, encore plus sexy.
Avant toute chose, je tiens à remercier Julie alias Petit Corbeau pour sa confiance.
Celles et ceux qui me suivent depuis le début se souviennent peut-être de ma chronique de Touche pas à mon coeur de la même auteure, que j'avais conclue en promettant une chronique d'un autre de ses ouvrages.
J'ai bien reconnu la plume d'Oriane, notamment à travers ses personnages qui dévient toujours un peu des sentiers battus. Cette romance inversée m'a intriguée dès le début, à la lecture du résumé. J'aime assez quand l'héroïne se déleste du rôle d'oie blanche pour endosser celui de la femme fatale. Quoiqu'avec Oriane, on le sait, les apparences sont trompeuses.
Sandra a provoqué plusieurs réactions chez moi, positives et négatives. C'est un personnage clivant, c'est difficile d'avoir un avis nuancé sur elle au premier abord. Mais l'auteure parvient à nous la faire apprécier à l'aide d'informations bien choisies sur son environnement familial par exemple. Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, Sandra est touchante par sa furieuse envie de vivre malgré les obstacles qui jalonnent sa route, même si on peut contester ses choix et ses réactions.
Comme pour Chloé dans Touche Pas à Mon Coeur, j'ai eu parfois des difficultés à "me mettre dans sa peau". J'aime pouvoir m'identifier pleinement aux héros des récits que je parcours. Ici, ça n'a pas été toujours le cas. Néanmoins, mon intérêt ne s'est pas affadi au fur et à mesure de ma lecture.
Le Love Interest masculin, Victor, m'a également posée question de nombreuses fois. On est loin du protagoniste outrageusement viril et arrogant, bien au contraire. Victor est un homme décent, attentionné mais doté d'une mentalité un peu étriquée dès qu'il s'agit de relation amoureuse et de sexe, surtout. On s'attend à ce que Sandra, en animal sexuel qu'elle est, n'en fasse qu'une bouchée. Eh bien, nous en sommes pour nos frais !
(n)ever joue avec les codes du genre. Je me suis laissée surprendre, embarquée, dans la troublante expérience entre ces deux êtres que tout oppose et entre lesquels les rôles s'inversent sans prévenir. A tel point qu'on finit par se demander qui de Sandra ou de Victor, va finir par être dévoré ! Et qu'est-ce que j'aime quand mes certitudes sont ébranlées par des révélations surprenantes !
Si vous cherchez une romance spéciale tant par son sujet que par le style, foncez lire (n)ever. J'avoue que se fantasmer en Sandra le temps d'une lecture n'est pas désagréable (merci Oriane pour ces passages chauds bouillants toujours si bien amenés!)
4/5 sur l'Echelle de la Saveur Livresque
Résumé : Sandra Mullens et Victor Klein fréquentent la même école, mais pas avec les mêmes habitudes. Alors que Victor est agacé par chaque gloussement émis pour lui, Sandra enchaîne les conquêtes à partir des défis que ses copines et elles se lancent à tour de bras. Consciente de ses charmes, rien ne semble arrêter la meneuse du groupe des dragueuses invétérées. C'est alors que ses amies lui posent le défi ultime, en dernière année : passer à l'acte avec Victor, devenu le bel homme de dix-neuf ans avec qui seule une timide a prétendu un jour avoir eu une liaison. Sandra accepte le pari, mais échoue malgré ses approches qu'elle pensait infaillibles.
Sept ans plus tard, les anciens élèves se retrouvent lors d'une soirée. Aussi joueuse que par le passé, les amies de Sandra remettent sur le tapis son échec. Heurtée dans sa fierté, elle jure d'y parvenir un jour ! Ça tombe bien... Victor est là aussi, encore plus sexy.
Avant toute chose, je tiens à remercier Julie alias Petit Corbeau pour sa confiance.
Celles et ceux qui me suivent depuis le début se souviennent peut-être de ma chronique de Touche pas à mon coeur de la même auteure, que j'avais conclue en promettant une chronique d'un autre de ses ouvrages.
J'ai bien reconnu la plume d'Oriane, notamment à travers ses personnages qui dévient toujours un peu des sentiers battus. Cette romance inversée m'a intriguée dès le début, à la lecture du résumé. J'aime assez quand l'héroïne se déleste du rôle d'oie blanche pour endosser celui de la femme fatale. Quoiqu'avec Oriane, on le sait, les apparences sont trompeuses.
Sandra a provoqué plusieurs réactions chez moi, positives et négatives. C'est un personnage clivant, c'est difficile d'avoir un avis nuancé sur elle au premier abord. Mais l'auteure parvient à nous la faire apprécier à l'aide d'informations bien choisies sur son environnement familial par exemple. Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, Sandra est touchante par sa furieuse envie de vivre malgré les obstacles qui jalonnent sa route, même si on peut contester ses choix et ses réactions.
Comme pour Chloé dans Touche Pas à Mon Coeur, j'ai eu parfois des difficultés à "me mettre dans sa peau". J'aime pouvoir m'identifier pleinement aux héros des récits que je parcours. Ici, ça n'a pas été toujours le cas. Néanmoins, mon intérêt ne s'est pas affadi au fur et à mesure de ma lecture.
Le Love Interest masculin, Victor, m'a également posée question de nombreuses fois. On est loin du protagoniste outrageusement viril et arrogant, bien au contraire. Victor est un homme décent, attentionné mais doté d'une mentalité un peu étriquée dès qu'il s'agit de relation amoureuse et de sexe, surtout. On s'attend à ce que Sandra, en animal sexuel qu'elle est, n'en fasse qu'une bouchée. Eh bien, nous en sommes pour nos frais !
(n)ever joue avec les codes du genre. Je me suis laissée surprendre, embarquée, dans la troublante expérience entre ces deux êtres que tout oppose et entre lesquels les rôles s'inversent sans prévenir. A tel point qu'on finit par se demander qui de Sandra ou de Victor, va finir par être dévoré ! Et qu'est-ce que j'aime quand mes certitudes sont ébranlées par des révélations surprenantes !
Si vous cherchez une romance spéciale tant par son sujet que par le style, foncez lire (n)ever. J'avoue que se fantasmer en Sandra le temps d'une lecture n'est pas désagréable (merci Oriane pour ces passages chauds bouillants toujours si bien amenés!)
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