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Critique de Sabinedarroze
Une « instagrameuse » qui s'ennuie dans un trajet en train demande à ses followers de lui confier un secret. Elle reçoit de nombreuses révélations, elle enquête sur chaque secret . Elle en fait un livre.
Sur le fond , on est sur la ligne éditoriale d‘une émission de Morandini ou de Hanouna.
Les secrets révélés vont du viol dans l'enfance à l'aveu du fétichiste des pieds . Quelques paragraphes sont consacrés à la révélation ( au mieux 3 pages) et parfois ses conséquences sur la vie des porteurs du secret. Pas d'analyse sociologique, psychologique sérieuse ou ethnologique, juste la révélation avec quelques impressions et ressentis émotionnels. A chaque secret recueilli une résonance dans la vie de l'auteur et le plus souvent le lien est capilotracté. On est souvent dans le nombrilisme des bobos d'adolescence.
Sur la forme , le récit est truffé de pléonasmes, de lapalissades et autres évidences primaires et maladresses syntaxiques. Parfois quelques élans qui semblent écrits d'une autre main. On parvient avec difficulté à suivre le propos tant la construction est artificielle.
Je me suis accrochée jusqu'à la moitié du livre. Mais quand on met sur le même plan le récit d'un viol ( le secret évoqué par une de ses sources) et le mensonge de l'auteur à son tonton de ne pas pas avoir regardé le dvd que ce dernier lui avait offert, je me dis que je peux lire autre chose. Si à la fin du livre, elle doit révéler le secret qui la ronge , tant pis , je me passerai de cette révélation intime qui ne m'intéresse pas.
L'ennui a eu raison de ma curiosité et chose rarissime je ne suis pas allée au bout de ces 249 pages ( j'ai tout de même lu la conclusion que je ne commenterai pas).
Pas de souci, l'auteure qualifiée en quatrième de couverture comme étant une archiviste de l'amour, a des milliers de lecteurs enthousiastes et de followers, c'est bien là l'essentiel!
Sur le fond , on est sur la ligne éditoriale d‘une émission de Morandini ou de Hanouna.
Les secrets révélés vont du viol dans l'enfance à l'aveu du fétichiste des pieds . Quelques paragraphes sont consacrés à la révélation ( au mieux 3 pages) et parfois ses conséquences sur la vie des porteurs du secret. Pas d'analyse sociologique, psychologique sérieuse ou ethnologique, juste la révélation avec quelques impressions et ressentis émotionnels. A chaque secret recueilli une résonance dans la vie de l'auteur et le plus souvent le lien est capilotracté. On est souvent dans le nombrilisme des bobos d'adolescence.
Sur la forme , le récit est truffé de pléonasmes, de lapalissades et autres évidences primaires et maladresses syntaxiques. Parfois quelques élans qui semblent écrits d'une autre main. On parvient avec difficulté à suivre le propos tant la construction est artificielle.
Je me suis accrochée jusqu'à la moitié du livre. Mais quand on met sur le même plan le récit d'un viol ( le secret évoqué par une de ses sources) et le mensonge de l'auteur à son tonton de ne pas pas avoir regardé le dvd que ce dernier lui avait offert, je me dis que je peux lire autre chose. Si à la fin du livre, elle doit révéler le secret qui la ronge , tant pis , je me passerai de cette révélation intime qui ne m'intéresse pas.
L'ennui a eu raison de ma curiosité et chose rarissime je ne suis pas allée au bout de ces 249 pages ( j'ai tout de même lu la conclusion que je ne commenterai pas).
Pas de souci, l'auteure qualifiée en quatrième de couverture comme étant une archiviste de l'amour, a des milliers de lecteurs enthousiastes et de followers, c'est bien là l'essentiel!
