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Critique de clockworkstar
“Hello.
I hope somebody is listening.”
5☆|5
Radio Silence est le premier livre d'Alice Oseman que j'ai voulu lire. Il y a des années, avant de savoir qui était Alice Oseman ou de n'avoir seulement entendu parler des Heartstopper. Mais, une chose en entraînant une autre, mon parrain ne l'ayant jamais trouvé en librairie n'a pas pu me l'offrir, et je ne l'avais finalement pas lu. Tout cela nous amenant donc au fait que je le lise seulement maintenant et qu'il est mon 8e livre lu du Osemanverse. Et avec le recul, je ne l'aurais certainement pas autant apprécié si je l'avais lu à l'époque.
Ce livre ressemble pour moi au livre idéal. Et je sais, c'est extrêmement bateau comme phrase, mais c'est surtout très vrai. J'ai souvent tendance à dire que les livres de cette autrice me font me sentir à la maison, mais pour celui-ci ça s'est avéré particulièrement vrai. C'est le livre qui m'a réconforté bien que des larmes aient coulé. C'est le livre où je me suis reconnu. Pour des tas de raisons. C'est le livre qui m'a fait du bien.
Encore une fois Alice Oseman décrit de merveilleux personnages. Et encore une fois iel le fait à la perfection, rendant Frances, Daniel et Aled des jeunes adultes plus vrais que nature. La manière dont l'auteurice rend ses personnages terriblement réels est quelque chose qui me fascine tout bonnement. Et évoluer pendant quelques centaines de pages à leurs côtés est toujours une expérience extraordinaire que je revivrai 10 fois sans hésiter une seule seconde.
J'ai beaucoup aimé comment Alice aborde les thèmes de l'identité et du rapport aux études. de la pression académique. C'est terriblement bien fait et sublimé par sa merveilleuse plume que j'ai enfin pu découvrir en anglais dans un roman. Et cette plume m'a semblé si belle. Fluide et envoûtante, aussi envoûtante que peut être une plume de contemporain.
Frances m'a permis de me reconnaître, Daniel, que j'appréhendais au départ et n'aimais pas du tout, m'a finalement touchée et m'a fait l'apprécier, Aled m'a fait vivre tellement de choses. La famille Last m'a effrayée et intriguée. J'ai pleuré, beaucoup par moment. J'ai détesté les gens, de nombreuses fois. Et pendant 403 pages j'ai eu envie de vivre et d'écouter Universe City.
Ce roman ressemble pour moi au livre idéal, car il l'est sûrement. Il est parfait à mes yeux et c'est très bien comme ça.
Tw: anxiété, consommation d'alcool par des mineurs, décès d'un animal, harcèlement, parent émotionnellement abusif
Rep: poc bi mc, mc demisexuel gay, personnage secondaire gay
I hope somebody is listening.”
5☆|5
Radio Silence est le premier livre d'Alice Oseman que j'ai voulu lire. Il y a des années, avant de savoir qui était Alice Oseman ou de n'avoir seulement entendu parler des Heartstopper. Mais, une chose en entraînant une autre, mon parrain ne l'ayant jamais trouvé en librairie n'a pas pu me l'offrir, et je ne l'avais finalement pas lu. Tout cela nous amenant donc au fait que je le lise seulement maintenant et qu'il est mon 8e livre lu du Osemanverse. Et avec le recul, je ne l'aurais certainement pas autant apprécié si je l'avais lu à l'époque.
Ce livre ressemble pour moi au livre idéal. Et je sais, c'est extrêmement bateau comme phrase, mais c'est surtout très vrai. J'ai souvent tendance à dire que les livres de cette autrice me font me sentir à la maison, mais pour celui-ci ça s'est avéré particulièrement vrai. C'est le livre qui m'a réconforté bien que des larmes aient coulé. C'est le livre où je me suis reconnu. Pour des tas de raisons. C'est le livre qui m'a fait du bien.
Encore une fois Alice Oseman décrit de merveilleux personnages. Et encore une fois iel le fait à la perfection, rendant Frances, Daniel et Aled des jeunes adultes plus vrais que nature. La manière dont l'auteurice rend ses personnages terriblement réels est quelque chose qui me fascine tout bonnement. Et évoluer pendant quelques centaines de pages à leurs côtés est toujours une expérience extraordinaire que je revivrai 10 fois sans hésiter une seule seconde.
J'ai beaucoup aimé comment Alice aborde les thèmes de l'identité et du rapport aux études. de la pression académique. C'est terriblement bien fait et sublimé par sa merveilleuse plume que j'ai enfin pu découvrir en anglais dans un roman. Et cette plume m'a semblé si belle. Fluide et envoûtante, aussi envoûtante que peut être une plume de contemporain.
Frances m'a permis de me reconnaître, Daniel, que j'appréhendais au départ et n'aimais pas du tout, m'a finalement touchée et m'a fait l'apprécier, Aled m'a fait vivre tellement de choses. La famille Last m'a effrayée et intriguée. J'ai pleuré, beaucoup par moment. J'ai détesté les gens, de nombreuses fois. Et pendant 403 pages j'ai eu envie de vivre et d'écouter Universe City.
Ce roman ressemble pour moi au livre idéal, car il l'est sûrement. Il est parfait à mes yeux et c'est très bien comme ça.
Tw: anxiété, consommation d'alcool par des mineurs, décès d'un animal, harcèlement, parent émotionnellement abusif
Rep: poc bi mc, mc demisexuel gay, personnage secondaire gay
