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Critique de Livrescapades
Au nom d'un père de Alexis Ott d'Estevou est l'histoire d'un amour inconditionnel d'un père pour ses filles et celle de son combat acharné pour rendre justice à la vérité.
Lui, c'est François-Marie (FM), un quadra dynamique, intelligent et très cultivé, cadre dirigeant dans une entreprise. Elle, c'est "Maléfique", son épouse. Une beauté uniquement préoccupée par son apparence, avec un petit pois en guise de cerveau. Décidant subitement, après deux mois de mariage, de mettre un terme à huit ans de vie commune, elle quitte le domicile, son mari et ses deux filles pour s'installer avec son amant. A l'incompréhension et à la sidération succèdent le sentiment de trahison, le désespoir et puis la colère et l'angoisse lorsque FM doit se rendre à l'évidence que sa future ex-femme a décidé de faire de sa vie un véritable enfer en le privant de ce qu'il possède de plus cher au monde: ses deux filles.
Du dénigrement à l'instrumentalisation des enfants en passant par les mensonges, la médisance et la diffamation, rien ne sera épargné à FM. Refusant de se soumettre, il va monter au front et livrer une bataille acharnée pour tenter de récupérer ses filles qu'une justice corrompue a décidé de lui enlever.
Le roman est réaliste et bien documenté, le style recherché et le vocabulaire riche, les références culturelles nombreuses; je déplore donc d'autant plus les coquilles -assez nombreuses- que j'ai relevées dans le texte.
Si j'ai été révoltée par l'injustice crasse dont a été victime ce père et touchée par son combat pour ses filles, je ne me suis pas attachée à lui pour autant. Pis, je l'ai trouvé détestable, arrogant et misogyne! L'un des objectifs de ce roman étant de dénoncer avec vigueur les préjugés sexistes qui attribuent presqu'automatiquement la garde des enfants à la mère, j'ai été gênée précisément par un certain nombre de coups en dessous de la ceinture portés contre les femmes (aussi antipathiques soient-elles!). Par ailleurs, les personnages (tant le père que la mère) sont à mon sens trop caricaturaux, ce qui explique sans doute mon absence d'empathie pour FM.
Lui, c'est François-Marie (FM), un quadra dynamique, intelligent et très cultivé, cadre dirigeant dans une entreprise. Elle, c'est "Maléfique", son épouse. Une beauté uniquement préoccupée par son apparence, avec un petit pois en guise de cerveau. Décidant subitement, après deux mois de mariage, de mettre un terme à huit ans de vie commune, elle quitte le domicile, son mari et ses deux filles pour s'installer avec son amant. A l'incompréhension et à la sidération succèdent le sentiment de trahison, le désespoir et puis la colère et l'angoisse lorsque FM doit se rendre à l'évidence que sa future ex-femme a décidé de faire de sa vie un véritable enfer en le privant de ce qu'il possède de plus cher au monde: ses deux filles.
Du dénigrement à l'instrumentalisation des enfants en passant par les mensonges, la médisance et la diffamation, rien ne sera épargné à FM. Refusant de se soumettre, il va monter au front et livrer une bataille acharnée pour tenter de récupérer ses filles qu'une justice corrompue a décidé de lui enlever.
Le roman est réaliste et bien documenté, le style recherché et le vocabulaire riche, les références culturelles nombreuses; je déplore donc d'autant plus les coquilles -assez nombreuses- que j'ai relevées dans le texte.
Si j'ai été révoltée par l'injustice crasse dont a été victime ce père et touchée par son combat pour ses filles, je ne me suis pas attachée à lui pour autant. Pis, je l'ai trouvé détestable, arrogant et misogyne! L'un des objectifs de ce roman étant de dénoncer avec vigueur les préjugés sexistes qui attribuent presqu'automatiquement la garde des enfants à la mère, j'ai été gênée précisément par un certain nombre de coups en dessous de la ceinture portés contre les femmes (aussi antipathiques soient-elles!). Par ailleurs, les personnages (tant le père que la mère) sont à mon sens trop caricaturaux, ce qui explique sans doute mon absence d'empathie pour FM.
