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Critique de tchouk-tchouk-nougat
John Tackett est producteur de cinéma et il veut écrire un film sur le célèbre gang des frères Dalton. Et pour faire le tri entre legende urbaine et réalité, il va s'adresser au dernier membre vivant de la famille : Emmett Dalton.
Je trouve ce récit poignant et très réaliste. Même s'il est difficile de faire le tri entre ce qui relève de la fiction et de la vérité historique, la psychologie des personnages est bien rendue.
La fratrie Dalton n'avait pas le crime dans le sang. Plusieurs d'entre eux étaient même Marshals mais le salaire dérisoire, les risques du métier, la corruption des politiques et les injustices de l'ouest américain les ont poussés au vol et aux braquages.
De ce fait, malgré que ce soient des bandits, on a de la sympathie pour ces frères qui sont d'ailleurs capables de gentillesse.
Les dessins sont assez purs, laissant toute la place à une aquarelle au ton bleuté. Il y a une certaine nostalgie, un petit côté rétro dans ce graphique.
Seul point négatif, impossible de différencier les frères Dalton entre eux. Je ne sais pas si c'est voulu ou non mais on ne sait jamais à qui on a affaire. C'est parfois assez perturbant.
Je trouve ce récit poignant et très réaliste. Même s'il est difficile de faire le tri entre ce qui relève de la fiction et de la vérité historique, la psychologie des personnages est bien rendue.
La fratrie Dalton n'avait pas le crime dans le sang. Plusieurs d'entre eux étaient même Marshals mais le salaire dérisoire, les risques du métier, la corruption des politiques et les injustices de l'ouest américain les ont poussés au vol et aux braquages.
De ce fait, malgré que ce soient des bandits, on a de la sympathie pour ces frères qui sont d'ailleurs capables de gentillesse.
Les dessins sont assez purs, laissant toute la place à une aquarelle au ton bleuté. Il y a une certaine nostalgie, un petit côté rétro dans ce graphique.
Seul point négatif, impossible de différencier les frères Dalton entre eux. Je ne sais pas si c'est voulu ou non mais on ne sait jamais à qui on a affaire. C'est parfois assez perturbant.
