A vrai dire, ce troisième tome m'a moyennement emballé. Je n'y ai pas senti le souffle du premier (me gloire de mon père) et l'ai trouvé un peu poussif. Je me suis identifié à l'adolescent débarquant dans un nouveau lycée, je me souviens de certains épisodes et de la façon dont
Pagnol les raconte… mais le coeur n'y est plus. Je ravale ce livre au rang d'autres souvenirs d'enfance ou de jeunesse (ex : La communale, de Jean L'hote).
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