AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de oiseaulire


Toujours la même (bonne) veine : Pajak accorde un regard bienveillant même aux êtres les plus déjantés : ainsi évoque-t-il le poète Ezra Pound, sans prendre prétexte de sa folie pour invalider ses qualités littéraires novatrices en les distinguant bien de ses idées délirantes.
On assiste également dans ce volume 3 à la fin pathétique de Walter Benjamin, à la fois passéiste toujours fourré dans le 19 ème siècle des arts, de l'architecture et de la littérature et visionnaire d'un avenir plein d'épouvante : passéiste parce que sans illusion.
Les circonstances de la mort de ce gros nounours lucide, malheureux et débonnaire m'ont beaucoup émue : bravo Pajak !
Commenter  J’apprécie          20



Ont apprécié cette critique (2)voir plus




{* *}