>
Critique de seriephile
J'ai beaucoup entendu parler de son premier roman sans toutefois l'avoir lu, alors lorsque la proposition de lire son second roman a été faite je n'ai pas réfléchi très longtemps avant de dire oui.
Je m'attendais à un livre plutôt philosophique (surement à cause du titre) avec des envolées lyriques limites ennuyeuses et j'ai été agréablement surprise puisque j'ai très vite compris que ce n'était pas le cas. Et la surprise ne s'est d'ailleurs pas arrêtée là : l'auteur se permet de parler en son nom tout au long du livre! La première fois j'étais perplexe, en arrêt avec un gros point d'interrogation au dessus de la tête (oui, oui, comme dans les BD), puis finalement j'ai rapidement compris la volonté de l'auteur, enfin j'y ai trouvé une explication et je me suis dit que forcément c'était ce que l'auteur voulait, comme s'il se résumait et qu'il nous donnait des informations supplémentaires, un peu comme des notes de bas de pages mais en mieux. Ça n'a pas encombré ma lecture, au contraire, à mon sens cela a même donné un charme supplémentaire. Cependant, concernant le reste du texte, j'ai été un peu moins conquise à certains moments. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs et d'une manière générale que l'histoire ressemblait à un roman sentimental un peu déguisé. Dommage, car si finalement je souhaitais pas lire un roman philosophique soporifique je ne voulais pas non plus lire un livre « facile ». Ce qualificatif n'est pas à prendre de manière péjorative, je lis plein de livres de filles, toutefois lorsque je les commence je sais à quoi m'attendre et c'est pour ça d'ailleurs que je les commence. Là c'est un peu comme une publicité mensongère, je ne sais pas si je suis très claire, mais en tout cas c'est un peu le sentiment que j'ai eu. Bref en résumé, du bon et un peu de moins bon font quand même un bilan positif, ce fut un bon moment de lecture.
Je m'attendais à un livre plutôt philosophique (surement à cause du titre) avec des envolées lyriques limites ennuyeuses et j'ai été agréablement surprise puisque j'ai très vite compris que ce n'était pas le cas. Et la surprise ne s'est d'ailleurs pas arrêtée là : l'auteur se permet de parler en son nom tout au long du livre! La première fois j'étais perplexe, en arrêt avec un gros point d'interrogation au dessus de la tête (oui, oui, comme dans les BD), puis finalement j'ai rapidement compris la volonté de l'auteur, enfin j'y ai trouvé une explication et je me suis dit que forcément c'était ce que l'auteur voulait, comme s'il se résumait et qu'il nous donnait des informations supplémentaires, un peu comme des notes de bas de pages mais en mieux. Ça n'a pas encombré ma lecture, au contraire, à mon sens cela a même donné un charme supplémentaire. Cependant, concernant le reste du texte, j'ai été un peu moins conquise à certains moments. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs et d'une manière générale que l'histoire ressemblait à un roman sentimental un peu déguisé. Dommage, car si finalement je souhaitais pas lire un roman philosophique soporifique je ne voulais pas non plus lire un livre « facile ». Ce qualificatif n'est pas à prendre de manière péjorative, je lis plein de livres de filles, toutefois lorsque je les commence je sais à quoi m'attendre et c'est pour ça d'ailleurs que je les commence. Là c'est un peu comme une publicité mensongère, je ne sais pas si je suis très claire, mais en tout cas c'est un peu le sentiment que j'ai eu. Bref en résumé, du bon et un peu de moins bon font quand même un bilan positif, ce fut un bon moment de lecture.
