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Critique de Chat_de_bibliotheque
Si vous n'avez jamais lu une des 4 histoires de la série des John meurt à la fin alors je ne peux que vous recommander de vous y essayer. C'est dingue, drôle, pertinent, plus que barré et juste dans son traitement des personnages, de leurs tourments propres et de leurs vices. Des antis héros ni bon ni mauvais, un condensé d'humanité dans l'inhumain. Et vraiment de l'inattendu à chaque fois.
Prenez les ressorts les plus utilisés du fantastique et de la SF, mélangez les sous une tonne de cocaïne et d'anxiolytiques, ajoutez une pointe de cynisme en ajoutant un zeste d'espoir pour les causes perdues et agitez le tout très fort. Vous aurez peut-être un tiers de ce qui porte ces livres.
Pour celui-ci précisément, j'aime à me dire que ce volume est le meilleur de la série... jusqu'au prochain. Un plaisir incroyable de retrouver notre trio d'anti héros, de rire et de trembler avec eux, de se demander sans arrêt "mais, bordel, qu'est-ce que je viens de lire?". Accentuer et développer le personnage de Joy a redonné davantage de punch au groupe et à l'univers de la saga, revenir enfin à David, ce qu'il est, mais sans tout livrer... C'est tout ce qu'on pouvait en attendre sans le savoir (probablement parce que c'est impossible de savoir ce qu'on attend d'un John dies at the end).
Pour moi on est sur une réussite en terme de récit à boucles temporelles, il est probable qu'il y ai des erreurs, mais je ne les ai pas décelées tant la lecture est fluide et ne semble pas trébucher sur des incohérences. C'est assez rare pour être souligné.
Définitivement, je n'ai jamais rien lu qui s'approche du travail de Jason Pargin, qui me fasse autant rire et qui résonne pourtant aussi profondément en moi. J'ai aimé le premier roman de cette série, mais plus le temps passe plus mon attachement pour l'oeuvre entière est fort.
Elle n'est pas exempte de défaut, mais elle est tout ce qu'il me fallait sans que je le sache.
Prenez les ressorts les plus utilisés du fantastique et de la SF, mélangez les sous une tonne de cocaïne et d'anxiolytiques, ajoutez une pointe de cynisme en ajoutant un zeste d'espoir pour les causes perdues et agitez le tout très fort. Vous aurez peut-être un tiers de ce qui porte ces livres.
Pour celui-ci précisément, j'aime à me dire que ce volume est le meilleur de la série... jusqu'au prochain. Un plaisir incroyable de retrouver notre trio d'anti héros, de rire et de trembler avec eux, de se demander sans arrêt "mais, bordel, qu'est-ce que je viens de lire?". Accentuer et développer le personnage de Joy a redonné davantage de punch au groupe et à l'univers de la saga, revenir enfin à David, ce qu'il est, mais sans tout livrer... C'est tout ce qu'on pouvait en attendre sans le savoir (probablement parce que c'est impossible de savoir ce qu'on attend d'un John dies at the end).
Pour moi on est sur une réussite en terme de récit à boucles temporelles, il est probable qu'il y ai des erreurs, mais je ne les ai pas décelées tant la lecture est fluide et ne semble pas trébucher sur des incohérences. C'est assez rare pour être souligné.
Définitivement, je n'ai jamais rien lu qui s'approche du travail de Jason Pargin, qui me fasse autant rire et qui résonne pourtant aussi profondément en moi. J'ai aimé le premier roman de cette série, mais plus le temps passe plus mon attachement pour l'oeuvre entière est fort.
Elle n'est pas exempte de défaut, mais elle est tout ce qu'il me fallait sans que je le sache.
