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Critique de morin


Nous sommes en 1787, et si la population française commence à s'agiter, de leur coté le roi et la noblesse manquent de clairvoyance.

Le commissaire le Floch, ou plus exactement le marquis de Ranreuil est grand-père. Dans cet ouvrage son fils Louis m'a semblé très imbu de son titre de vicomte de Tréhiguier. Il oublie qu'il est le fils d'Antoinette, ancienne prostituée devenue espionne, et du jeune commissaire le Floch et qu'il a passé ses premières années dans la maison galante de la Paulet . Pour qui se prend-il : "Si nous nous inspirons de ce modèle (les Insurgents aux Etats-Unis) c'est tout l' échafaudage de mille ans qui viendrait à s'effondrer".

Après avoir échappé à deux agressions, le commissaire est accusé de meurtre et conduit à la Bastille. Il est enlevé par des soldats étrangers, conduit dans une maison pour y être torturé. Il sera sauvé par un valet de restaurant et deux membres du grand Chatelet.
Le commissaire retrouve ensuite un ami de jeunesse devenu évêque d'Adran, venu négocier un traité entre le roi de Cochinchine et la France. Il est accompagné d'un enfant, le prince Canh. Dans ses bagages le sceau de Cochinchine. Celui-ci disparaît, le Floch est chargé de le retrouver...

les aventures sont multiples, les différentes affaires s'entrecroisent, difficile d'en dire plus.

Comme dans tous les ouvrages de J.F Parot la fiction et ses protagonistes côtoient l'Histoire avec un grand H et ses personnages réels.
Avec un petit clic sur wikipedia on découvre des informations sur la Cochinchine et le projet de traité avec la France.

livre intéressant, j'ai passé un moment agréable à le lire.
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