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Critique de jamiK
Ce monolithe noir apparait un jour dans le désert d'Australie, des curieux y viennent en pèlerinage, un groupe est happé par cette structure visiblement extraterrestre, s'en suit un périple, une ascension forcée. Ce monolithe est une construction changeant au fil de ses besoins, tantôt piégeant ses prisonniers, tantôt les aidant… Cette histoire a un air de parenté évident avec “Le Labyrinthe” de James Dashner, le monolithe est une structure vivante, engloutissants ses cobayes humains un par un, dans un but expérimental.
L'idée de cet labyrinthe vertical fait tout le sel de cette aventure. Les personnages sont tout de même assez caricaturaux, les tentatives pour entrer dans leur psychologie sont plutôt laborieuses, grossières. le récit souffre de quelques petites incohérences et l'écriture manque singulièrement de relief, c'est presque une style de compte rendu, mais l'ensemble est tout de même distrayant, je m'y suis laissé prendre. le personnage le plus intéressant est sans doute le monolithe lui même. Je m'attaque immédiatement à Métacentre, la suite de cette aventure, bien que comme dans la trilogie "L'épreuve" de Dashner, j'ai bien peur que sans l'être architectural, l'attrait retombe et que du coup, les défauts paraissent plus omniprésents.
L'idée de cet labyrinthe vertical fait tout le sel de cette aventure. Les personnages sont tout de même assez caricaturaux, les tentatives pour entrer dans leur psychologie sont plutôt laborieuses, grossières. le récit souffre de quelques petites incohérences et l'écriture manque singulièrement de relief, c'est presque une style de compte rendu, mais l'ensemble est tout de même distrayant, je m'y suis laissé prendre. le personnage le plus intéressant est sans doute le monolithe lui même. Je m'attaque immédiatement à Métacentre, la suite de cette aventure, bien que comme dans la trilogie "L'épreuve" de Dashner, j'ai bien peur que sans l'être architectural, l'attrait retombe et que du coup, les défauts paraissent plus omniprésents.
