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Critique de CalouRmn
« Contrastes » est le terme avec lequel je définirais ce roman.
« Contraste » sur la couverture d'abord, avec ce masque blanc qui pleure des larmes rouge-sang,
« Contraste » sur le titre, qui m'a évoqué en premier lieu un univers asiatique empreint de sérénité… j'étais loin de la réalité !
« Contraste » sur l'intrigue, qui démarre lentement et s'accélère jusqu'au final terriblement tonitruant,
« Contraste » sur les policiers, à la fois très professionnels et très fragiles parce qu'« humains »,
« Contraste » sur le style, avec des descriptions de lieux et de sentiments très poétiques et des scènes macabres difficiles à soutenir,
« Contrastes » enfin sur le final, auquel je ne m'attendais pas ☹
En préambule, petit bémol pour quelques fautes de frappe ou de syntaxe qui n'ont pas été corrigées par l'éditeur.
Olivier Patry signe là un roman atypique sur le style avec des personnages aux profils fouillés et une intrigue originalement menée même si le « fond » est déjà vu.
Tao, c'est le diminutif de Taolini, jeune lieutenant à la carrière prometteuse, qui intègre l'équipe du capitaine Michel Darros au 36.
Pour sa première enquête, Mina Taolini est confrontée à un meurtre barbare avec mutilation dans le milieu très fermé des soirées « libertines friquées parisiennes ». Une course contre la montre s'engage avec le tueur lorsqu'ils comprennent que ce tordu est en passe de récidiver !
Une intrigue bien menée, beaucoup plus machiavélique que le début ne le laisse présager, sur fond de maltraitance familiale et de plongée dans le Dark Web, …
J'ai mis un peu de temps à rentrer dans ce polar dont j'ai trouvé le début un peu lent… mais au final, l'ensemble est cohérent avec la réalité du terrain où les enquêteurs avancent au rythme de leurs découvertes (indices, autopsie, recherches internet,…) avec les écueils des fausses-pistes et des pièges tendus par le tueur en série.
Un auteur que je vais suivre avec plaisir 😊
« Contraste » sur la couverture d'abord, avec ce masque blanc qui pleure des larmes rouge-sang,
« Contraste » sur le titre, qui m'a évoqué en premier lieu un univers asiatique empreint de sérénité… j'étais loin de la réalité !
« Contraste » sur l'intrigue, qui démarre lentement et s'accélère jusqu'au final terriblement tonitruant,
« Contraste » sur les policiers, à la fois très professionnels et très fragiles parce qu'« humains »,
« Contraste » sur le style, avec des descriptions de lieux et de sentiments très poétiques et des scènes macabres difficiles à soutenir,
« Contrastes » enfin sur le final, auquel je ne m'attendais pas ☹
En préambule, petit bémol pour quelques fautes de frappe ou de syntaxe qui n'ont pas été corrigées par l'éditeur.
Olivier Patry signe là un roman atypique sur le style avec des personnages aux profils fouillés et une intrigue originalement menée même si le « fond » est déjà vu.
Tao, c'est le diminutif de Taolini, jeune lieutenant à la carrière prometteuse, qui intègre l'équipe du capitaine Michel Darros au 36.
Pour sa première enquête, Mina Taolini est confrontée à un meurtre barbare avec mutilation dans le milieu très fermé des soirées « libertines friquées parisiennes ». Une course contre la montre s'engage avec le tueur lorsqu'ils comprennent que ce tordu est en passe de récidiver !
Une intrigue bien menée, beaucoup plus machiavélique que le début ne le laisse présager, sur fond de maltraitance familiale et de plongée dans le Dark Web, …
J'ai mis un peu de temps à rentrer dans ce polar dont j'ai trouvé le début un peu lent… mais au final, l'ensemble est cohérent avec la réalité du terrain où les enquêteurs avancent au rythme de leurs découvertes (indices, autopsie, recherches internet,…) avec les écueils des fausses-pistes et des pièges tendus par le tueur en série.
Un auteur que je vais suivre avec plaisir 😊
