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Critique de bina
William Baker est un ancien acteur à succès d'Hollywood. Drogue, alcool et abus en tout genre ont changé sa silhouette de débutant, il s'est épaissi, mais tant que le succès est là, les producteurs vous aiment. Un accident bête au cours d'une soirée arrosée le laisse boiteux, son agent s'éloigne, le cinéma ne veut plus de lui. Il décide alors de se reprendre en main, de traverser les Etats-Unis pour se reconstruire sur une petite île qu'il aime, loin des paillettes et du show-biz.
William rencontre Lisa Hamilton, une jeune femme qui le séduit. Les dix-sept premiers chapitres de ce livre sont consacrés à l'installation de cette romance et au bonheur qui revient peu à peu.
Puis, l'auteur nous plonge dans une dimension fantastique peu plausible, qui ne m'a pas convaincue. En principe, le lecteur doit sans arrêt se poser la question de la réalité ou du fantastique, les deux devant se mêler habilement. Cela se caractérise par des événements inexpliqués dans une situation bien concrète. C'est pourtant le cas ici, mais ces irruptions qui laissent William perplexe et s'interrogeant sur son état mental ne parviennent pas à me convaincre.
La suite de l'histoire, si on oublie le fantôme est un drame pour la famille, pour un couple normal, dans la vie comme dans la fiction, le lien est fait avec un événement du passé avec nous découvrons peu à peu, tout se tient, et pourtant…
Je ne sais pas ce qui cloche. le côté fantastique tombe à point pour sortir de la romance où on s'enlisait, mais j'ai l'impression que ce filon n'a pas été exploité suffisamment pour nous plonger vraiment dans une autre dimension de lecture. Je suis restée insatisfaite, ayant du mal à finir ce roman, la lecture s'est révélée plate et presque ennuyeuse. Ou bien je suis passée à côté de quelque chose, ou bien l'auteur, malgré la bonne intention du départ, n'a pas su nous emmener aussi loin qu'espéré.
William rencontre Lisa Hamilton, une jeune femme qui le séduit. Les dix-sept premiers chapitres de ce livre sont consacrés à l'installation de cette romance et au bonheur qui revient peu à peu.
Puis, l'auteur nous plonge dans une dimension fantastique peu plausible, qui ne m'a pas convaincue. En principe, le lecteur doit sans arrêt se poser la question de la réalité ou du fantastique, les deux devant se mêler habilement. Cela se caractérise par des événements inexpliqués dans une situation bien concrète. C'est pourtant le cas ici, mais ces irruptions qui laissent William perplexe et s'interrogeant sur son état mental ne parviennent pas à me convaincre.
La suite de l'histoire, si on oublie le fantôme est un drame pour la famille, pour un couple normal, dans la vie comme dans la fiction, le lien est fait avec un événement du passé avec nous découvrons peu à peu, tout se tient, et pourtant…
Je ne sais pas ce qui cloche. le côté fantastique tombe à point pour sortir de la romance où on s'enlisait, mais j'ai l'impression que ce filon n'a pas été exploité suffisamment pour nous plonger vraiment dans une autre dimension de lecture. Je suis restée insatisfaite, ayant du mal à finir ce roman, la lecture s'est révélée plate et presque ennuyeuse. Ou bien je suis passée à côté de quelque chose, ou bien l'auteur, malgré la bonne intention du départ, n'a pas su nous emmener aussi loin qu'espéré.
